Que le jeune soit juif ou pas, n’est il pas simplement une victime dans le coma suite à une agression. C’est la propension de certaines communautés à la victimisation, qui me gonfle et les médias de masse qui font leur gros titres pour agrémenter les rancoeurs et faire du chiffre, sans garder la modération qui leur est du sur les causes.
Quand à nos imbéciles de politiciens, ils ont été les premiers a appuyer une information sans éléments d’enquête. Mais c’est tout à leur habitude. La communication étant leur nouveau cheval de bataille.
Le Grand rabbin de France, Gilles Bernheim pour sa part, s’est montré prudent au sujet d’un acte antisémite "probable, mais pas certain" de l’agression. "Il y a des actes antisémites (…) il y a aussi des bandes organisées dont l’objet est de vendre de la drogue..., Et je trouve que c’est une grande sagesse de sa part, d’avoir eu l’objectivité de le mentionner.
De l’autre coté, c’est Ariel Goldmann, vice-président du CRIF relativement radical dans ses positions qui a hurlé à l’antisémitisme et ameuté les médias, sur le simple fait que le jeune portait une kippa.
Si je porte la croix du Christ autour du coup et qu’elle m’est arraché, dois-je en déduire qu’il sagit d’un acte anti-chrétien. Avec ce type de réaction c’est à croire.
Ce type de comportement est inadmissible et je trouve qu’il devrait être sanctionné pénalement, puisque c’est clairement inciter et attiser la haine raciale entre communautés. Bizarrement, personne n’en fait cas.
Pour tous ces points je rejoins l’avis de maggie, surtout sur l’attitude des politiques sur l’affaire du RER D et le manque de démenti sur la premiére approche de ce fait divers. Il est certain que l’actuelle problématique va suive les memes chemins.
Vous pouvez rallonger la durée de cotisation tant que vous voulez de toutes les facons aucune retraite ne sera versé à taux plein sauf (éventuellement) celle des fonctionnaires, pour les raisons déjà évoqués.
Les fonctionnaires ont eut une retraites calculé sur les 6 derniers mois d’exercice de leur activité pendant de nombreuses années. Aujourd’hui elle est calculée sur les 15 derniéres années, sur les 25 derniéres pour le privé (15 auparavant). Bref, on garde encore des écarts, dont je ne comprends pas la raison. C’est surement pas la pénibilité.
Dans le secteur public (pas de risque de chomage) + meilleur versement de la retraite - de stress et surtout pas de responsabilité. Et c’est en plus les seuls à bénéficier encore de l’appui des syndicats et à pouvoir encore manifester (moi j’ai vu personne du privé manifester, à part des chomeurs peut être).
Car quel intérêt de s’emmerder à travailler plus pour gagner plus pour financer toujours le meme puit sans fond, tout en prenant le risque de se retrouver au chomage, voir à la rue.
Sur ce point les jeunes ne se trompent pas (60% veulent travailler dans le secteur public)
Le prolongement de la durée de cotisation et de l’age de la retraite est une réforme qui n’en a que le nom et ne vise qu’à réduire le nombre de ceux qui pourront la toucher à taux plein (Quid DRH : à 40 ans les entreprises se demandent ce qu’elles vont faire de vous) De plus cette majorité a supprimer la loi (Delalande) Cette loi imposait une amende de 50000€ aux entreprises pour tout salarié de + de 50ans mis au chomage ou en retraite anticipée. Qui dès qu’elle a été supprimé, a favorisé les préretraites et les licenciements dans cette tranche d’age. Alors après faire une réforme plan sénior c’est un peu bidon !
Le chomage endémique ne permettra pas à ceux du privé de cotiser le nombre d’année nécessaire dans tous les cas de figure et donc d’obtenir un taux plein. Secteur privé qui finance en grande partie les retraites de nos fonctionnaires et dont je ne pense pas que les salaires soient 65% plus élevé que dans le secteur public (rapport des 25 années sur les 15 du public).
Si garder un service public est primordial, il ne peut se faire au détriment de tous. De plus, il n’y a aucune raison pour le service public ne profite pas des méthodes de gestion qui ont fait leur preuve dans le privé. (lorsque je vois 5 ouvriers de la ville pour planter un arbuste, 1 qui creuse, l’autre qui plante et 3 qui regarde, on s’en sortira pas) Et lorsque l’on parle d’un cout du travail trop élevé en France ceci y contribue pleinement.
Car je ne vois pas en quoi cela nuirait au service public que de rationnaliser ses effectifs (? !) (à part peut être pour ceux qui regarde) et les politiques pour lesquels cela arrange les statistiques du chomage.
La France est géré par des élites formatés et déconnectées depuis longtemps de la réalité, sans parler d’une incapacité d’anticipation (vieillissement de la population, accroissement des durées de vie...) et dépourvue d’un quelconque courage politique (droite ou gauche). S’occupant plus de savoir qui va mettre ses fesses dans le fauteuil que ce qu’il va y faire à part nous ressortir les memes réformes éculés (la formation, le machin, le truc..) qui n’ont jamais eu aucun effet et que l’on nous ressort à toutes les sauces en changeant le nom.
Bref, sans changement radical, préparez vous à une retraite heureuse dans un pays du tier monde, vers lequel il vous faudra partir vivre votre retraite à 400€ / mois (enfin si nous ne sommes pas devenu le seul pays du tiers monde, les pays émergents eux avance, nous on recule sur tous les points croissance / protection sociale / industrie...).
Il m’a semblé percevoir dans l’actualité "mots croisés" que le marié s’était convertit à l’islam pour satisfaire cette future union. Ce préambule souvent contraint par les familles musulmanes pour tous mariages mixtes est donc une renonciation du marié à ses convictions personnelles pour satisfaire à l’union future. Ce qui semble être l’objet de tout contrat.
Cette contrainte avec ce qu’elle implique comme investissement et renonciation, ne donnaient elles pas au marié le droit d’exiger le respect des règles édictée par cette religion à son épouse ? Lui-meme s’y étant contraint et son épouse ne s’y étant pas opposée, se prévalant ainsi du respect des règles édictées par cette religion.
L’époux qui avait dans ce sens déjà conclu un contrat de mariage moral, était en droit légitime d’attendre la meme honneteté de son épouse.
Ce débat ne serait donc plus un rapport à la viginité, la femme... comme les médias l’ont promulgué, mais avec le contrat et l’obligation morale établit antérieurement au fondement et à la consommation physique de ce mariage.
Cette décision du marié de rompre cette union semble en ce sens légitime d’une tromperie. Celle qui l’a obligé à ce convertir à l’islam et le non respect par son épouse des obligations morales nées de fait dans ce contrat moral préalable au mariage. Engagement dont il ne pouvait se prévaloir juridiquement. Le marié en ce sens a bien été trompé sur les conditions de son mariage, la virginité n’étant qu’une cause induite par les obligations morales réciproques nées antérieurement à la conclusion de ce mariage.
L’attitude du marié, "ramenant le produit non conforme" à la famille pourrait confirmer cette thèse, dans l’humiliation de ceux qui avait fait naitre l’obligation morale viciée et desquels ils ne pouvaient se prévaloir juridiquement.
Les solutions est bien le débat que j’aurais aimer soulever, mais c’est un sujet tellement passionnel que peu sont capable de le soulever sans s’emporter et vociférer des insultes, pour y apporter une quelconque reflection. Ce qui coupe tout dialogue et empêche une reflection conjointe pour lutter contre le déclin de systèmes définit pour et par le people au prix de longues luttes.
La technique du "vol de sauterelle" ne faisant qu’affaiblir et servir ceux qui veulent les déstabiliser.