la distinction droit gauche est un cache sexe, une étiquette commode pour un homme politique de situer par rapport a son éléctorat.
mhoussaye, vous avez raison de mettre en vant le fait que le cette distinction, (dans son conteneu) évolue au fil du temps, et au sein meme de ces deux « groupe », on peut trouver des personnes plus proche des idées du groupe opposé. phénomeme lié à la transversalité de tous les sujets politique.
a Anthony Meilland,
on peut résumer la personne de doite, indépendament de l’étiquette, comme étant une personne principalement préocupé par la conservation de son statut personnel. le moyen étant habituelluement la mise en oeuvre des principes du libéralisme, lorsque cela joue a leur avantage.
MAIS, cela peut se faire meme au détriment des principes du libéralisme politique, en terme de liberté civile, et même économique (n’assistons pas à une recartellisasion des entreprises). la personne de droite vote en fonction de son intéret personnel, et non en fonction de ce qu’elle estime etre juste pour la société (elle trouvé dans le monétarisme un instrument idélogique, cependant).
la personne « gauche », serait enclin au mouvement des statuts sociaux personnels (et donc doit accepter l’eventualité de la perte de son statut), selon les efforts de chacun. la « gauche » est révolutionnaire, ou plutot progressiste, elle s’accommode bien du principe juridique de la liberté du commerce et de l’industrie, car s’est un moyen de réaliser cette mouvance. Mais elle ne fait pas une fixation sur les principe « théorique » du marche, et un gouvernement de « gauche » qui se couche devant les directions de la BCE, ou du FMI.., est une imposture. La « gauche » doit donc rejeter le monétarisme qui est une idélogie strictement de droite au sens le plus dur. De plus, la « gauche » ne vise pas l’égalitarisme, qui, tout comme la « Droite », a pour but, la conservation des statuts.
Enfin, il ne faut pas aublier que la dillution de la disctinction droite gauche, vient également, des obligations juridiques assignés aux Etat, par la multiplication des normes supralégale.