je ne défends rien. je dis juste que la cour a appliqué le droit.
l’annulation se fait quand le mariage est basé sur un mensonge, prouvé et approuvé par les deux époux. un divorce s’applique quand des actions commises ou apparues pendant le mariage remettent en cause la vie maritale.
c’est l’avocat instruit de l’affaire et connaissant le monde du droit qui lui a conseillé de plaider la nullité sachant que la justice s’en tient au strict domaine légal.
perso, l’expérience sexuelle est un atout... qu’il ait tort de ne pas en profiter n’en fait pas un con pour autant. chacun vit sa vie avec sa perception des choses. qu’il soit traditionnaliste le regarde. que cela ne vous plaise pas je le comprends et partage votre avis jusqu’à un certain point. celui d’intégrer l’histoire privée et intime de personnes, qui en connaissance de cause et mutuellement se prononcent pour se séparer. l’histoire des femmes en france ou ailleurs est un autre problème, indépendant de la décision de justice lilloise.
pourquoi le jugement de 97 cité plus haut ou plus bas, n’a fait aucun bruit, est passé en silence, dans l’indifférence générale ? parce que c’est l’homme qui en patit ? ou parce qu’il s’agissait de cathos bon teint ?
ce que je refute c’est le bruit autour de cette affaire... . j’ai appris à me méfier du cirque médiatico politique...