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Pas envie de polémiquer avec vous mais je tiens à vous faire savoir que je n’ai pas dit que ma lecture du mythe était au-dessus de celle de Camus ce qui aurait été maladroit et vaniteux.. Je me sens donc obliger de vous citer ma phrase que vous avez mal interprétée : « Non, Sisyphe votre lecture ne s’élève pas au-dessus de celle d’un Camus… » c’est vous qui êtes jugé ici et le jugement est véridique puisque vous vous servez de l’autorité de Camus pour asseoir vos jugements donc j’ai le droit de conclure que Camus est votre maître et que vous n’êtes que son valet.
Je n’adhère pas aux idées de Camus que je trouve médiocre écrivain car dans son célèbre roman : la peste, je n’y vois qu’un tissu de mensonges peu réalistes. On sait par l’histoire comment l’homme a réagit dans ces circonstances et Camus qui ne s’est pas donner la peine de se documenter sur le sujet, ne le traite qu’en soi en s’imaginant que l’homme ne paniquerait pas dans une situation pareille. Or la réalité est autre car durant les épidémies, les autorités religieuses ont cru que c’était Dieu qui les punissait pour leurs péchés, ils procédèrent donc à l’édification de bûchés pour y brûler quelques vilains pécheurs pour atténuer la colère divine ce qui s’appelle procéder à des sacrifices humains. Camus n’a pas eu le courage de montrer cet aspect du comportement humain quelques peu dégoûtant. Il agit de même avec le mythe de Sisyphe où il ne veut pas voir dans cette image rien d’autre que la poésie ce qui lui évite d’entrer en polémique. Pas courageux Camus.
Quant à votre phrase : « Et, justement, de ce sort "tragique", Camus, en faisant un parallelle avec l’acceptation par l’homme d’un destin voué à la mort sans recours (parce que sans dieu), fait un destin accepté et assumé. »
Permettez-moi d’en rigoler tandis que je m’assieds sur la pierre en disant aux dieux pour les narguer pas d’accord, je ne suis pas votre larbin. La classe quoi ! Dans la réalité, je n’agis pas autrement ce qui m’a valu de me retrouver seul contre tout le monde et marginalisé. Snif. . snif …
Il faut que je vous dise que je ne crois pas aux dieux sinon que dans le mythe ce mot symbolise l’autorité de la communauté humaine sur l’individu.
Pour revenir au sujet de l’article peut être que le secrétaire général de la CFDT ferait mieux de venir prendre des cours de rebellions assisté avec moi.