Nous sommes dans un monde de compétition car nous vivons dans une société de plus en plus mondialisée. Et qui dit mondialisation dit un acroissement des interdpéndances. Cela signifie que mon bien-être ne dépend plus uniquement de ma propre décizsion, mais également de celles des amériacins, des chinois ou des russes, etc. La compétition est inéluctable : elle présente aussi bien des menaces que des opportunités. Le tout estd e savoir comment neutraliser les menaces et comment profiter des opportunités.
Si la crise alimentaire actuelle apparaît comme une menace, elle peut devenir une opportuité pour entreprendre les réformes nécessaires pour sortir l’afrique de sa léthargie et de sa dépendance. C’est là où réside l’esprit du papier. Je ne suis pas contre l’autosuffisance alimentaire, mais contre la manière, la stratégie qui a été adoptée pour y parvenir sans vraiment réussir. Si l’on entend parvenir à l’autosuffisance ou l’autonomie alimentaire par des stratéges où sul l’Etat est l’acteur est le moteur du développement agricole, l’histoire est là pour nous rappeler la non pertinence de cette voie. Tous les pays africains qui ont marché dans cette voie ont fini par se retourver dans l’impasse de la dépendance alimentaire.
Bien évidemment, l’idéal serait d’arriver à modifier les comportements et les habitudes alimentaire vers un mode de consommation plus respectueux de l’environnement, donc durable et viable. MAis, ce genre de révolution nécessite beaucoup de temps et d’effort d’éducation. En attendant, il ne faudrait pas se tromper de stratégie pour assurer à tous un accès à une alientation saine nécesaire pour mener une vie active.