Je comprends tout ce qu’on peut dire sur un prosélytisme insidieux dans les écoles. Les arguments contre consistent à dire qu’on prépare l’enfant à entrer dans un certain milieu. N’est-ce pas justement ce que fait l’école avec d’autres symboles ? En leur donnant dés le plus jeune âge des cours de "devoir de mémoire", des cours de démocratie ainsi qu’une une vision trés mondialiste de l’organisation sociale, les éducateurs préparent aussi les enfants à entrer dans un monde qu’ils ont forgé pour eux et qu’ils devront subir.
C’est par ce phénomène que les sociétés se répliquent et se régénèrent.
Il serait bon de comparer cet article avec ce qui se passe actuellement au Canada. Le gouvernement, dans un élan mondial d’auto-flagellation de l’homme blanc, vient de demander publiquement pardon aux esquimaux. De quoi demande-t-il pardon ? Tout simplement d’avoir enrôlé leurs enfants dans des écoles comme celle défendue par tout le monde sur ce fil, afin d’y favoriser l’assimilation des jeunes esquimaux dans la société moderne canadienne et par là-même, de leur avoir fait perdre leur culture, leur coutume et les traditions de leur société.
Voilà qui est bien intéressant, vous ne trouvez pas ?
Les problèmes auxquels nous devons faire face sont les séquelles des actrions bien-pensantes qui favorisent depuis trente ans une immigration de peuplement n’ayant rien de commun avec le nôtre. Les bien-pensants ne savent plus comment se dépêtrer avec le merdier qu’ils ont créé. Soit ils assimilent à tour de bras au nom d’un égalitarisme archaïque et ils tomberont dans l’auto-flagellation canadienne l’année suivante, soit ils acceptent le communautarisme (à mon avis la seule solution) et ils doivent s’asseoir sur leur dogme égalitaire.
Ce qui est triste est qu’autant les canadiens sont confrontés à un problème systémique qu’ils héritent du 17 siècle, autant les français se sont mis eux-même dans ce pétrin pour avoir suivi aveuglément des politiques mondialistes, socialistes et égalitaristes depuis seulement une trentaine d’année (depuis Giscard). Il est peut-être encore temps de corriger nos erreurs.