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Commentaire de Imhotep

sur Jean Sarkozy, un conte de fée


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Imhotep Imhotep 16 juin 2008 23:44

 Je vous conseille de regarder cette photo avec à gauche Pierre Sarkozy et à droite Jean sarkozy. Je vous conseille ensuite de regarder avec attention la bouche de l’un et de l’autre et je vous conseille de regarder l’image fixe de la vidéo que j’ai postée. Il n’y a aucun doute possible. Non seulement il n’y a aucun doute possible mais en plus cette information a été reprise des dizaines de fois sans jamais avoir été contredite. Alors un dernier point. Celui que j’admire chez les personnes comme vous. Vous me critiquez violemment. C’est un fait. Et dans votre critique vous vous placez avec d’autres ici comme la référence de ce qu’il faut faire. Vous vous placez dans ce que l’on appelle une position impossible. Car si moi je critique Jean sarkozy (et pour ce qu’il fait) vous me critiquez pour ce que j’en dis. Ceci vous place dans la situation intenable d’avoir vous le droit de me critiquer en m’interdisant de le faire. Et j’aimerais connaître quel valeur fait de vous un Ubermensch dirait Nietzsche car votre vue de la critique et le droit que vous vous accordez à la faire est supérieure à la mienne. Moi je constate des faits que même le journaliste du Figaro dans l’extrait que j’ai mis a constaté, en résumé la trahison. Donc vous, le sage, vous m’interdisez de critiquer la trahison, vous m’interdisez de critiquez quelqu’un qui prend la place d’un autre non par son mérite mais par son nom, en revanche vous vous vous autorisez à me critiquer moi. Vous allez plus loin car vous m’insultez. Quels sont vos critères de cette supériorité affirmée ? Il faudra me l’expliquer. Il faudra m’expliquer dans cette démocratie en quoi la critique de la trahison est inférieure en droit et morale à la critique de cette critique. A ce jugement de valeur qui fait de vous un être qui me serait moralement supérieur ? Sinon il faudra que vous révisiez votre façon de penser. Moi à l’inverse de vous je vous autorise toutes les critiques que vous vouliez, mais vous me semblez un peu léger vis à vis de l’orthogonalité des choses, de la réflexion poussée et non superficielle, et mais bien ancrée dans la croyance orgueilleuse en votre suprématie morale.


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