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Commentaire de Henri François

sur Jean Sarkozy, un conte de fée


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Henri François 17 juin 2008 09:40

En toute conscience, je nie farouchement la faculté de conduire toute assemblée politique, qu’elle soit régionale ou nationale, à un jeune homme de 21 ans. Je ne mets pas en doute les qualités (supposées) du fils du "prélat", mais je persiste à croire qu’à cet âge là, la maturité - politique, sentimentale ou autre - est encore loin d’être atteinte. Surtout lorsqu’elle concerne un individu né et ayant vécu, dans un cocon l’ayant mis à l’abri des vicissitudes la vie.

Pour diriger, si intelligent et volontaire soit-on, il est nécessaire d’avoir souffert et surtout d’avoir une approche saine et honnête des différentes distortions et obstacles qui foisonnent dans toute communauté.

En admettant qu’une telle démarche, montre une fois encore que nous ne sommes nullement en démocratie mais bel et bien dans un régime de "royauté", déguisée et désuète, sachons, nous tous, demeurer attentifs et intelligents. Il est inutile de persifler sur ce site qui, dans bien des cas, a tendance à devenir une simple "discussion inutile de comptoir" ou bien encore un dialogue improductif.

Tout compte fait Jean, jeune bourgeois parmi les bourgeois, s’est fait le protecteur de l’ assemblée d’une race en voie de disparition, car vile . Laissons le à ses rêves et magazines "people". Il ne fera que passer avant de disparaître à tout jamais. De ceci également j’en suis convaincu et ce malgré toutes les protections et les manoeuvres de ses pairs, courtisans serviles, ou... de son père.

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