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Commentaire de Henri François

sur Jean Sarkozy, un conte de fée


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Henri François 17 juin 2008 12:30

Comme tout papa faible qui se respecte, il est indéniable que Nicolas a imposé Jean, croyant ainsi se projeter lui-même, une fois désagrégé dans l’éther, dans l’Histoire par le biais de sa famille. Comme l’ont cru tous les rois de la planète. En outre et là il ne s’agit que du père. Il gueule et monhtre les dents comme ont aboyé et continuent de le faire les bassets ou les pékinois. Ils compensent leur petite taille par un débordement de cris rageurs.

D’autre part et là j’ouvre une parenthèse, j’ai été scié de honte à la vue d’une image furtive nichée dans le reportage qu’Antenne 2 consacrait hier soir à la présence de notre Président en République tchèque.

Cette image - furtive, hélas, je le souligne encore - était celle des dirigeants tchèques posant autour de NS, en rang d’oignon comme il se doit. Et bien sous les pieds de notre Chef, histoire de compenser sa petite taille vis à vis des géants que l’entouraient, avait été glissée une petite estrade haute de plusieurs centimètres. Comme affront pareil à celui essuyé aux Etats Unis, on ne pouvait faire mieux.

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