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Commentaire de Gazi BORAT

sur Les petits pas feutrés du communautarisme islamique


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Gazi BORAT 17 juin 2008 16:09

Ce texte est exemplaire..

Ecrit par un professeur de Lettres, il y est fait usage d’une langue simple mais agréable, accessible à tous, et d’une indéniable musicalité.

La mention "à la retraite", ajoutée à sa qualité évoquée de professeur de Lettres laisse songeur : à quelle époque ce digne professeur a-t-il professé ? Quelle générations a-t-il éclairées de son savoir ?

La forme évoque la France d’autrefois, le laïcisme intransigeant de l’auteur, les bons vieux instituteurs radicaux socialistes d’autrefois, pour qui l’enseignement était apostolat et qui, à la jeunesse et à la République, faisaient don de leurs personne..

Néanmoins, la métaphore hardie de l’introduction :

"Les « soldats du feu », en Provence, savent parfaitement qu’un incendie ne peut vraiment se maîtriser qu’au moment où il démarre, quand il est « tout petit », fragile encore, et qu’il est alors attaqué par des moyens massivement mis en œuvre…C’est pour cela que, dès que l’été arrive et que le mistral menace, il y a partout des postes de guet, des avions de surveillance, des patrouilles en mouvement, des camions-pompes en alerte maximum, des détachements nombreux d’hommes prêts à intervenir."
 

apporte une touche de modernité. L’exemple de ces valeureux "soldats du feu", dont l’amour que leur porte notre bon peuple de France est confirmé régulièrement par ces enquêtes qui sondent les coeurs et les âmes et où cette profession caracole toujours largement en tête dans l’opinion de nos concitoyens.

Métaphore hardie ?

Oui, car, souvent lorsqu’est évoquée une menace venue de l’étranger menaçant notre nationale communauté, sont utilisées des images empruntant au domaine médical, à base de bacilles et de virus menaçant le corps sain de la nation.

Ce langage, puissant comme cette Terre qui jamais ne nous a menti, ces expressions simples mais belles comme ce " beau pays de France" que l’on aimerait lire plus souvent, nous renvoient à une époque où notre nation avait pour chef un être aux yeux couleur de ciel, aux moustaches blanches comme la vertu et dont la droiture de chêne reflêtait celle de sa conscience..

Au fait, Mr Albarède, vous avez conservé votre francisque ?

gAZi bORAt

 


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