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Commentaire de Imhotep

sur Jean Sarkozy, un conte de fée


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Imhotep Imhotep 17 juin 2008 22:22

 Excusez-moi, mais je ne vous ai pas traité de pervers (on pense alors soit à pervers tout court soit à pervers sexuel d’(où peut-être votre réponse sentimentale) mais de pervers intellectuel, ce qui se traduit par avoir une perversité intellectuelle. Ce qui est tout à fait différent. Cependant je sui prêt à changer d’avis en ce qui concerne votre nature. En revanche je reste très réservé quant à la manière dont vous avez attaqué mon texte et pour les raisons que j’ai citées plus haut. Sachez par ailleurs que dans la très grande majorité des cas, je ne l’attaque qu’aux faits, paroles et gestes, sans toucher à la personne. Par exemple vous ne verrez jamais d’attaque de ma part en regard de la beauté ou la laideur supposée, des aspects physiques choisis comme dégradant (si je me moque de la chevelure de Jean Sarkozy c’est parce qu’il la joue artiste). Comme ce qui vous concerne je n’ai attaqué que la manière d’attaquer mon texte et non votre personnalité en entier. Je sais bien que les deux sont forcément liés, mais il n’empêche qu’il y a une sacrée différence. Pour moi les idées sont acceptables dans le champ du tolérable, quelle que soient les idées. Et dans ce champ du tolérable l’idée ne met pas en cause la valeur humaine. En revanche dès que l’on sort de ce cercle : haine gratuite par exemple, l’idée ou le sentiment colle à la personne, et là il n’y a plus de tolérance, et pour l’idée et pour la personne qui la diffuse.

 

Quant à votre poème je le trouve musical et, ce qui est la raison de son expression, c’est à dire vos sentiments, elle a dû ravir celle à qui ce poème était adressé.

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