Pardon : mon grand-père parce que psychiatre était freudien ? D’où sortez vous cette affirmation erronée. Vous faites encore plus fort que ceux qui analysent Sarkozy. D’abord il n’était pas psychiatre mais neuro-psychiatre. C’est assez différent.
Ensuite ce n’est pas mon débat. Je ne sais si vous êtes expert en sciences de la psyché et en toutes ses dérives, dérivations, écoles, chapelles et autres, mais vous lisez mal. Je veux simplement savoir dans le fatras de cette article complètement contradictoire quels sont les outils, quelles sont les compétences, quel est le matériel qui permet à cet auteur à juger avec pertinence ceux qui ont fait des observations ? Je me fous complètement de savoir si cette science est juste ou non, si elle est une science. Mais l’auteur comme je l’ai prouvé est parfaitement contradictoire, ces exemples sont mal analysés, en superficie, juste de vagues commentaires destructifs sans preuve et avec une argumentation faiblarde, ils s’accumulent sans lien, au hasard d’une pêche pour prouver la théorie du départ, même s’ils se contredisent entre eux, et de ce fait l’auteur se décrédibilise. Tout votre savant discours concernant Lacan et Freud est complètement à côté de la plaque. Je me place dans le champ du constat factuel en relevant les bêtises monstrueuses de certaines affirmations : quel est le droit de cet auteur à porter ces jugements, car il ne s’agit pas d’opinion, mais de jugement de compétence ? J’attends une réponse, non une réponse sur la validité des sciences autoproclamées de la connaissance de la psyché, non mais sur la validité de ce qui autorise cet auteur à porter tous ces jugements.