@ Crétinupilami
Que veux tu prouver ?
Tu te ridiculises une fois de plus, non seulement tu radotes, mais tes imprécations scabreuses font sourire tout le petit monde décérébré qui m’entoure.
Quant à partager quoi que ce soit avec toi, je ne lis pas dans le marc de café et donc ne suppose rien, perçois-tu la différence entre nous ? Voilà où sont tes limites, tu affirmes, tu conspues mais tu campes dans tes certitudes exécrables, si tu te sens mieux après quinze "gauchistes" et douze "islamo-gauchistes", vas-y, toutefois ne compte pas sur mon absolution, ce n’est ni de mon ressort, ni de mon rôle, ni de mon goût.
Tu présumes mes espoirs ou desespoirs être les tiens, or à te lire rien ne nous est commun dans ce qui transpire de ta prose, tu pousses même jusqu’à t’empêtrer dans ton raisonnement confortant mes propos précédents, pour toi on ne peut être et mesuré et passioné, saloperie de manichéïsme quand tu nous tiens.
Maintenant tes déclarations d’amour ont de fortes chances de rester lettres mortes, d’abord parceque dès que tu te sens déséquilibré c’est la défense que tu adoptes, on en retrouvera quelques unes sur Avox, ensuite parceque je trouve cette attitude dégoulinante d’hypocrisie et ici tu joues mal, c’est pour moi l’absolu défaut. Tu dis m’aimer, grand bien te fasse, encore faut-il comprendre les mots dont on use, sache, en tout cas et pour éviter toute détresse, que la réciproque ne s’applique pas. Je hais les comprometteurs se croyant infaillibles qui affichent leur desillusion comme une momie ses bandelettes, il plane autour d’eux comme des relents de mort.
En tout cas, vioque je serai c’est indubitable, enfin si je crève pas avant, par contre sénile tu es déjà et je ne peux rien pour toi que de te plaindre, tu n’auras pas la chance de vieillir heureux bien qu’imbécile.