Les langues indo-européennes, comme leur nom l’indique, sont les langues des peuples répartis de l’Europe à l’Asie, mais ce sont bien des langues dont la racine, la source provient les deux branches des Blancs européens, les deux ayant pour habitat initial une région qui se situe en Europe : une branche au Nord-Est de la Mer Noire et l’autre branche à l’ouest de l’Oural. Ces deux groupes étaient dès le départ proches et se sont depuis mélangés entre-eux en permanence sur l’ensemble de l’Europe pour constituer un groupe racial.
Les peuples porteurs de la langue ont migré et ont occupé les territoires que j’ai précédemment indiqués.
Associer les familles linguistiques et groupes ethnico-génétiques a un sens mais qui est limité. Il se trouve que les langues ont migré, ont été acceptée ou imposée par ou à d’autres peuples que ceux qui sont à l’origine de la langue.
En ce qui concerne le groupe racial des Blancs européens, il était bien la première branche humaine présente sur les aires géographiques que j’ai indiquées. C’était bien avant les royaumes connus, avant les Vandales. La poussée des autres branches de l’humanité est survenue, avec le métissage, et ce groupe racial a perdu la prépondérance dans les zones extra-européennes.
En ce qui concerne le métissage : il a toujours existé entre les races humaines mais de façon très marginale, dans les zones de contact, et de ce fait n’était pas une menace pour l’existence des races variées. D’ailleurs les races ont pu apparaître, et ensuite se maintenir dans leurs différences et se développer, justement parce que les branches de l’humanité n’étaient pas globalement exposées au métissage généralisé. Il se peut que dans chaque Européen on trouve en moyenne 5 % de gènes provenant des Noirs et que dans chaque Africain on trouve 5 % de gènes provenant des Blancs européens. Il reste que les Européens sont différents à 95 % des Africains. Cette différence est largement suffisante pour affirmer que les branches raciales ont gardé leurs spécificités. Cette diversité génétique des groupes raciaux constitue une richesse de l’humanité. Du moins jusqu’à aujourd’hui où on pousse au mélange généralisé. Mais pousser au métissage généralisé au nom de l’idéologie mondialiste, universaliste, c’est pousser à l’appauvrissement de l’humanité par la perte de sa diversité pas seulement culturelle mais aussi biologique.
Ceci-dit vous êtes libre d’avoir votre interprétation de l’histoire ou de la préhistoire des peuples. Je ne cherche pas à convaincre qui que ce soit. Vous pouvez garder votre opinion et je garde la mienne.