1- Intéressante analyse de votre part ! Les arguments sont convaincants ! J’affirme donc je prouve !
2- Apprenez ce qu’est "l’intericonicité" ; avant de parler ! L’ignorance n’est pas un titre suffisant pour monter en chaire !
3- Étonnant consentement à "la servitude volontaire" que ce type de campagne encourage ! Cette pub méprisante est digne de vous ! De ce point de vue les stratèges en la matière savent parfaitement à qui ils s’adressent. Paul Villach
Désolé d’intervenir à propos d’un post qui ne m’est pas destiné, mais ....
1) Vous dénoncez là un procédé que vous utilisez vous-même : "j’affirme, donc je prouve"
2) En traitant son interlocuteur d’ignorant : que voilà de l’argument qui se tient !!
3) La "servitude volontaire que ce type de campagne encourage" : ah bon ! Puisque Monsieur Vilach l’affirme, donc, c’est prouvé ! Puis ... "cette pub méprisante est digne de vous" : là, c’est carrément un discours fasciste, maniant justement le mépris soi-disant dénoncé : bel effet de réthorique, qui masque mal votre propre mépris, monsieur Villach !
Enfin : "les stratèges en la matière savent parfaitement à qui ils s’adressent" ; sous-entendu, ils s’adressent aux cons, et vous en êtes un, à la différence de moi, Paul Villach, qui suis tellement plus fin et tellement plus intelligent que je ne saurais m’y laisser prendre !
Monsieur Villach, malgré tout le respect que je vous dois, je dois vous dire que votre discours, outre une prétention himalayenne,( peu en accord avec votre "analyse" filandreuse et capillotractée), trahit, outre l’image extrèmement flatteuse que vous avez de vous-même, un manque d’acceptation du dialogue, de la critique, un mépris total des autres ; bref, un vrai discours de vieux con.
Quant aux "stratèges", quelle rigolade ! Pour avoir moi-même évolué quelques années dans ces milieux de la pub et de la com’, je peux vous dire que les fameux "stratèges" sont d’une indigence qui n’a d’égale que votre incroyable suffisance, et votre propension à avoir l’impression de s’attaquer à des choses essentielles, quand vous ne faites que barboter dans l’écume des choses.