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Commentaire de Armelle Barguillet Hauteloire

sur Georges Brassens... en toute saison, les nymphes de ruisseau, les vénus de barrières


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Armelle Barguillet Hauteloire Armelle Barguillet Hauteloire 25 juin 2008 09:08

Je suis de l’avis de tous : Brel, Brassens, Ferré ont marqué une époque où les talents se ramassaient à la pêle. Une seule petite remarque, on peut aimer Brassens et Proust, c’est mon cas. Et je suis bien certaine que Proust aurait raffolé des chansons de Georges. Il l’aurait fait venir dans sa chambre de malade, introduit par la fidèle Céleste, pour lui gratter quelques airs de guitare et lui aurait écrit ensuite des lettres pathétiques, car il avait le sens de l’amitié au-delà du possible. Curieux comme beaucoup de nos contemporains le considère comme un homme inaccessible, pédant, mondain, décadent en somme. C’était un grand humain... comme notre cher Geo. Toujours est-il que de nos jours, la nostalgie s’écrit en majuscules, sans être nécessairement passéiste, mais notre aujourd’hui n’a ni gueule, ni allure. Il faudra bien tenter d’y remédier et repeindre le monde avec plus d’éclat.


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