Sur Agora , il y a quand même quelques esprits éclairés , qui ne sont pas prêt a hurler avec les loups, dès que l’occasion s’en présente
Ce n’est pas le cas ici par exemple de la taverne tout comme sont maître Bayrou trop content de l’occase et qui fait une erreur de plus dans sa précipitation a rebondir sur l’actualité sans prendre du recul sur les solutions proposées ...
hurler avec les loups tout comme l’opposition même si d’une façon paradoxale , contradictoire puisque justement c’est leur credo
Une télévision "service publique" sans pub et "maîtrisé" par le pouvoir ! , c’est quand même plutot " gauchisant "comme principe il me semble ....
A quoi sert des télévisions publiques au 21eme siècle ? quel archaïsme !
il faudrait privatiser ce qui existe et à la rigueur conserver une chaîne "dite" culturelle comme Arte qui de toute façon et sur ces programmes "dit" culturelle ne seront regardé que par une toute petite minorité qui a bien d’autre occasion ou moyen de se cultiver
Le "bon peuple" pourra toujours retrouver sur les chaînes privés les programmes remarquables de France télévision , service publique ( interville, sebastien, samantha,question pour un chapion,derrick , amour gloire et beauté etc)
Sur Sarko, et quelque soit le soutient ou l’opposition que l’on peut témoigner à son action, il est quand même paradoxale qu’a chaque fois qu’il lève un peu d’hypocrisie sur le fonctionnement de l’état , il reçoit des néo conservateurs de tout poil, critique systématique et automatique
D’autant plus qu’une nomination par le pouvoir politique outre la transparence accru implique également une responsabilité politique devant les electeurs de cette nomination alors qu’auparavant , il était plutot aisé de s’abriter derrière le csa pour prétendre que ce n’était pas le président qui avait nommé tel personnalité plutot de gauche ou de droite selon la nature du pouvoir en place.
Une nomination directe est plus transparente et oblige un choix plus ouvert qu’il ne semble au premier abord
Regarder par exemple , la nomination de Frederic Mitterrand à la villa medicis
Perso et sur Sarko, je regrette son interventionnisme ( économie culture éducation )qui comme le dit le peripate , est tout sauf de l’ ultraliberalisme