Nous savons qu’en parallèle à la constitution d’une arme nucléaire, l’Iran par la voie éclairée de son président Mahmoud Ahmadinejad , a engagé ses plus brillants scientifiques à entreprendre des recherches tendant à localiser de manière précise l’état d’Israël
On se rappelle en effet du communiqué adressé au mois d’octobre 2005 aux principaux éditeurs d’atlas et d’encyclopédies, leur indiquant qu’il convenait, pour la justesse de leurs publications, de « rayer Israël de la carte ». Ce communiqué laconique n’avait toutefois sur le coup rencontré que scepticisme et indifférence, et même généré quelques protestations de la part des éditeurs concernés, qui ont publiquement regretté de ne pas avoir disposé d’une telle information quelques mois plus tôt, ce qui leur aurait permis de corriger à temps leurs manuels scolaires pour la rentrée 2005-2006.
Après plusieurs semaines consacrées à décortiquer des planisphères et au terme de calculs savants dont la teneur est gardée secrète, l’académie iranienne de géographie est parvenue à des conclusions décoiffantes : « Nos calculs sont forcément exacts ; nous avons suivi précisément le pointillé de la barrière de sécurité, détouré le plateau du Golan au cutter et mis un petit coup de perforatrice sur Jérusalem-Ouest et nous sommes formels, précisait dans une conférence de presse Mahmoud Ahmadinejad : Israël ne peut pas figurer sur la carte du proche-orient. Les gens se sont trompés ».
Israël se situerait en fait quelque part entre l’Allemagne et l’Autriche, et empiéterait même un peu sur la Suisse, le Territoire de Belfort et le Lot et Garonne.
Cette information, si elle n’a pas encore été validée par la communauté scientifique mondiale, aurait toutefois vexé au plus haut point l’état-major iranien, dont les missiles stratégiques se révèlent désormais avoir une portée « un peu courte, limite bande mou » selon les experts.
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