Re-ampoulé, ravissounet ? Meuh bien sûr que je tire du contexte, c’est pour vous tirer les poils
L’imparfait du subjonctif
Dès le moment que je vous vis,
Beauté torride, vous me plûtes.
De l’amour qu’en vos yeux je pris,
Aussitôt vous vous aperçûtes
Ah fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez
Qu’ingénuement je vous le disse
Qu’avec orgueil vous vous tussiez
A l’imparfait du subjonctif
Vous m’avez fait un drôle d’effet ;
Au présent de l’indicatif
Vos yeux étaient plus que parfaits.
Bien heureux encore que je pusse
Vous parler et que vous pussiez
Dans le tohu-bohu des puces
M’ouïr bien que vous chinassiez.
Pourtant je le pus et vous pûtes,
Mais pour que vous me cédassiez,
Je dus mentir et vous me crûtes
Sans que vous ne vous méfiassiez.
A l’imparfait du subjonctif
Vous m’avez fait un drôle d’effet ;
Au présent de l’indicatif
Vos yeux étaient plus que parfaits.
Fallait-il que je vous aimasse,
Fallait-il que je vous voulusse,
Et pour que je vous embrassasse,
Fallait-il que je vous reçusse.
Qu’en vain je m’opiniatrasse,
Que vous me désespérassiez
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m’assassinassiez.
A l’imparfait du subjonctif
Vous m’avez fait un drôle d’effet ;
Au présent de l’indicatif
Vos cheveux aussi me plaisaient.
A l’imparfait du subjonctif
Vous m’avez fait un drôle d’effet,
Mais au futur interrogatif
Vous laisserez-vous conjuguer ?