Commentaire de Vincent Perrier-Trudov
sur La dette publique
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Imputer le montant de la dette aux taux d’intérêt et aux mécanismes de la création monétaire est une diversion. La vérité est que cette dette est entièrement issue de dépenses mal ciblées et sous-financées, en raison d’une tendance particulièrement forte de la classe politique pour la démagogie.
Avant de partir dans vos pseudos-théories, commencez par regarder l’Allemagne des années 1930. Ceux qui ont le plus souffert de l’inflation et d’une création monétaire complètement débridée, ce sont les plus pauvres et les plus fragiles.
En propageant de telles idées, vous donnez de faux espoirs en incitant les gens à tendre vers des solutions dangereuses. C’est irresponsable.
Derniers commentaires
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09/07 17:38 - xa
"il l’est aussi TOUTES les autres années où il n’est pas en déficit... il (...)
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09/07 16:36 - Sophie
Je vais stopper la discussion car nous ne sommes manifestement pas d’accord. Juste un (...)
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09/07 15:56 - xa
voir sur aft.gouv.fr En 2006, les intérêts de la dette représente 39,9 milliards (...)
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09/07 13:56 - Sophie
@Xa Je réponds à vos écrits (8 juillet 14 h 28) en les reprenant... Xa : Je n’ai (...)
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09/07 10:22 - xa
Sur ce point je suis parfaitement d’accord. Il faut renforcer l’Etat dans son rôle (...)
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09/07 00:42 - Walid Haïdar
Ce que je voulais dire, c’est que l’estimation (inévitable évidemment) de la (...)
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