@Sophie : Merci Sophie de cette réponse. Je vais lire ces chiffres en m’y accrochant d’avantage. Quand j’écris personne, je voulais dire ...de nos Hommes politiques puisque Monsieur Hollande est pour moi un homme politique, premier secrétaire d’un des plus important parti de France. Il devrait donc, à mes yeux, avoir toutes les personnes compétantes en ce domaine sous la main.
Question bilan, j’ai ’donné’ pendant 30 ans . Je suis donc placé pour comprendre que la valeur pendant une période où tout va bien est très différente de celle d’une période où tout va mal. Ceci me fut expliqué par nos amis d’Argentine lorsqu’ils ont vu ’partir’ leurs richesses avec les fonds dits ’vautours’ . Quelle est la valeur à donner à certains biens ,sinon que zéro ,puisque c’est le chiffre à retenir sur le bilan quand tout va mal ? Ceci nous fut également ’expliqué’ ...à sa façon, disons par travaux (très) pratiques par Monsieur Bernard Tapie . Ils nous a prouvé que le début de sa fortune a consisté à acheter à un franc des entreprises en perdition et à les morceler ...j’ai bien vu qu’il y avait de l’argent à en tirer et il l’a fait...mais, quelques mois plus tard...la valeur réelle de ces entreprises moribondes fut nulle et malheureusement pour nous est restée nulle à ce jour. Voilà Sophie, "’mon "’ explication et ma crainte pour mon pays.
Je ne nie pas les chiffres que vous indiquez . Jusqu’à ce jour , j’y ai toujours ajouté "’ à ce jour ’ " ! Je vais donc grâce à vous essayer de les reprendre et enfin les analyser en fonction de la mondialisation ; C’est pour cette raison que je vous remercie de votre longue réponse à mes craintes...je voudrai tant avoir tord pour les chiffres à mettre sur le bilan qui ne doit en aucun cas être ’comptable’ comme les miens (de bilan) ...mais, ils doivent tenir compte de la valeur la plus proche possible de la réalité au moment où nous en aurons besoin...raison de la faillite de nombreuses entreprises dont les responsables ont vu la chute arriver mais les règles comptables ont tout faussé. Le compte d’exploitation et le bilan pour une entreprise ne sont donc que des "’joujoux’" qui permettent de fournir salaires à des nombreuses personnes du "terciaire" comme me l’a prouvé ,heureusement pour mon propre sort, à temps , la personne qui faisait les stages dans un centre de gestion agrée par l’état. J’en ai conclu que c’était ’officiellement’ accepté et ça m’a paru très limpide . Il faut vendre quand on ne sait plus gérer son entreprise (ou qu’on ne peut plus) sinon la valeur s’effondre. Personne n’est indispensable.