Le voile est un moyen de contrôle/domination lié à la soumission et à l’asservissement de la femme. Le foulard est le premier pas sur la pente savonneuse de l’asservissement qui mène à la burqa et/ou au niqab. C’est une culture si réprimée sexuellement que les hommes bâchent la femme pour éviter d’être troublés sexuellement par son essence. Quand ils y sont exposés, ils se sentent non seulement très excités mais menacés et vulnérables, un état d’esprit intolérable en Islam sauf en présence d’Allah.
Il est déroutant de penser qu’il existe des musulmanes fondamentalistes qui exigent d’avoir le droit de porter le niqab et sont parfois plus djihadistes que les hommes. Peut-être certaines de ces femmes ont elles l’illusion d’être protégées par le voile et compensent-elles leur statut inférieur par cette bravade agressive.
Mais pourquoi ? On peut spéculer sur le fait que la haine intériorisée du male envers la femelle conduit chez cette dernière à la haine de soi et à la dissociation ( réaction de se couper du stress infligé, de même que de la gamme d’émotions pénibles qui en découlent, en allant se réfugier dans un monde de fantaisie). Cela déconnecte ces femmes d’une vision plus saine d’elles-mêmes. Leur bravade agressive masque leur profonde humiliation et leur terreur.
Mais quelles sont les terreurs de ces femmes ?
Elles sont terrorisées à l’idée d’être assassinées par leur proches parce qu’elles vivent sous une menace de mort. Pour maîtriser cette pénible situation, elles adoptent le code vestimentaire dans un esprit de revanche.
Mettre le niqab c’est comme se couper un doigt en offrande aux dieux. Elles le font dans l’espoir d’apaiser la fureur meurtrière masculine. Le niqab est un message non verbal d’une culture coupée de la vie, du sens même de la vie et qui en a peur.