mon cher calmos,
c’est comme pour la ségolénite, il faut avoir les instruments adéquats.
ici en, l’occurence, une simple décoction d’herbe ne vous suffira pas.
afin de vous attaquer à un texte de morice, il faut de l’équipement lourd et une assistance.
il vous faut aller dans un magasin spécialisé en alpinisme de hautre montagne pour vous équiper en piolets, cordes, mousquetons, pique-glaces, pitons, échelles, casques, lampes frontales, tentes, pieux à neige, masques à oxygène, freins, kit de secours crevasse....
il vous faut également contacter une équipe de sherpas aguerris, pour vous éviter les périls d’une entreprise aussi risquée et vous aider à transporter votre équipement.
enfin, si j’osais, je vous recommanderais pour vous préparer, la lecture des ouvrages de rené desmaison, de maurice herzog, edmund hilary, gaston rebuffat, lionel terray... pour que vous puissez vous en inspirer, afin d’attaquer l’ascension par la face la moins périlleuse.
bon courage !
les zozos et zozottes se donneront rendez-vous à la terrasse du joyeux trolll grimpeur, situé au pied dudit billet et jumelles en main, nous porterons moults toasts pour vous encourager ! on ressortira à l’occasion, le vieux génépis caché au fin fond de la cave !

n’oubliez pas d’emporter un parapluie "spécial chute d’avions", ça pourrait vous faire mal si vous en preniez un au coin de la figure ! et je n’aurais plus un de mes "bouffeurs de socialos" favoris à taquiner !