Le mariage c’est l’auberge espagnole - on y apporte ce qu’on veut.
Ainsi, il peut être tout simplement un montage financier, accord d’entraide (vous allez me dire qu’il y a désormais le Pacs pour ça).
On peut y voir aussi une preuve d’amour supplémentaire et l’entourer de toute une mystique. Personnellement j’admets toutes les formes.
Si ce cas extrême de mariage postume me semble respectable (n’y a-t-il pas également une tradition chinoise qui consiste à marier les os des défunts - il me semble avoir vu ça dans une de mes séries préférées...), on peut aussi se lasser devan la volonté d’associer à tout prix normalité/respectabilité et amour.
C’est ce que je reprocherait aux tendances actuelles, cette volonté à tout crin de normalité : on peut vivre son homosexualité sans se marier (il y a vingt ans les militants homos laissaient ça aux hétéros ingards...) et il existe bien des maîtresses mieux aimées que des épouses. Et on sai que l’obsession du mariage d’amour-qui-doit-être-brûlant-comme-au-premier-jour conduit à d’innombrables divorces précoces.
Mais chacun sa vie...