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Commentaire de Jacques Fabry

sur Les voleurs de ciel naturel frappent sans relâche


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Jacques Fabry Jacques Fabry 29 juillet 2008 21:57

Ce dont je parle, sans aucune étiquette, uniquement en simple humain ayant encore la chance de vivre souvent en extérieur, c’est de ce que chacun peut constater en prenant le temps de regarder l’air du temps au lieu du bulletin météo.
Il y a encore peu de temps en arrière, l’humidité des avions se dissipait comme le sucre disparaît dans le café. Rajouter encore du sucre dans le café et il en subsiste au fond de la tasse. C’est ce qui arrive maintenant dans l’atmosphère, l’humidité perpertuelle en l’air pâlit le soleil, avance l’heure où vous allumer les codes de vos voitures le soir, rafraîchit vos soirées... Le seuil de saturation franchi, tout nouveau sucre stagne au fond de la tasse, toute nouvelle augmentation du trafic aérien laisse son humidité dans l’air. A la plus petite dépression cette humidité retombe en pluies violentes ou grêle.
Ai-je mis le doigt où ça fait mal ? Prenez le temps de farfouiller dans mon site www.eauseccours.com. Vous serez surpris du nombre des conséquences de cette atteinte à la qualité de la lumière.
Vous ne me croyez pas ? Je ne cherche pas être cru. Je souhaite plutôt que les vacances vous permettent de regarder le long des routes le nombre impressionnant d’arbres morts ou en train de mourir, que vous photografiez les éclairs courts, larges et parallèles des orages avionneux, que vous constatiez la raideur et l’alignement des "nuages", que vous écoutiez les efforts ou le silence des insectes...
Depuis 2 ans j’observe, analyse, comprends et alerte. Les décideurs sont au courant et m’encouragent à continuer mes travaux. Maintenant il faut que chacun voit... et après je pourrai plus facilement répondre en détails à vos demandes d’explications plus rationnelles et formelles.
La beauté peut se trouver partout même dans le champignon d’une explosion atomique. Je ne mets pas en cause le degré de beauté, je ressens le manque d’énergie et de joie de cette lumière qui vous rechargera moins que la lumière d’un été naturel. Ce n’est pas une mauvaise saison. Il suffit de redescendre au-dessous du seuil de saturation... Ce n’est ni passéiste, ni impossible, juste nécessaire.


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