tiens, deux articles qui traitent du journalisme.
deuxième post, donc.
les journalistes "professionnels", et ceux qui les emploient n’ont que ce qu’ils méritent.
quant à l’argument fallacieux du sérieux des sources et de la vérification de celles-ci que n’auraient pas les journalistes citoyens, il ferait rire, s’il n’était le symptome soit d’une grande ignorance, soit d’une grande malhonnêteté intellectuelle.
c’est une donnée moderne qui a révélé le vrai visage des journalistes, celui de valets au service d’intérêts financiers et politiques qui n’ont aucun soucis de vérité.
cette donnée moderne, c’est internet, et grâce à internet, le masque est tombé : les journalistes professionnels sont, dans leur immense majorité, des valets, des bouffons et/ou des menteurs.
et cette possibilité que donne internet de recouper et de fouiller les informations s’applique aussi aux journalistes citoyens : s’ils disent des conneries, ils seront démasqués dans l’heure, comme les journalistes professionnels.
nous sommes des citoyens libres, responsables, INFORMÉS, et quelle que soit la source de l’information, aucune soupe ne peut nous être servie sans la possibilité de la recracher.
c’était le cas, cela ne l’est plus.
vive le journalisme citoyen, et vive la fin des petits agents de désinformation qui tiraient leur légitimité uniquement de leur monopole, de l’absence absolue de réplique.
il faudra interdire internet pour sauver la presse papier.
mais qui veut la sauver ? les menteurs assermentés.
la presse papier est morte, et c’est tant mieux.
c’est bientôt le tour de la télé.
et c’est tant mieux aussi.