Parallèlement, kesed écrit dans « Liberté sans frontières » (IP:xxx.x1.227.119) le 7 octobre 2006 à 10H06, :
" Il nous appartient d’empêcher le coran de continuer à nuire en Europe, essentiellement en appliquant les lois en vigueur relatives à l’interdiction d’incitation au meurtre. La vente, la diffusion et l’enseignement du coran, dans sa rédaction actuelle, doit être interdite sur l’ensemble du territoire de l’Union Européenne. Ce livre, lorsqu’il est lu par des esprits faibles, par des personnes n’ayant pas la capacité nécessaire pour en faire une analyse objective, par des personnes à qui l’on interdit d’en faire l’analyse ou pire, par des enfants que l’on contraint à l’apprendre par coeur en arabe phonétique dans de prétendues « écoles » coraniques, ce livre est de nature à nuire gravement à la santé mentale et à induire des comportements agressifs violents. Le coran est non seulement anachronique mais il est malsain sous bien des aspects, bien plus malsain que tous les autres livres prétendument dictés par un quelconque dieu.
Nous devons revendiquer l’abrogation du coran pour des impératifs majeurs de salubrité publique et de paix sociale mais nous devons expliquer clairement les raisons qui motivent cette revendication. Nous devons citer les sourates et les versets qui constituent des atteintes graves vis-à-vis de la personne humaine et de la tranquillité des populations. Nous devons montrer du doigt les versets qui sont carrément criminogènes. Ce sera l’objet de l’étude analytique du coran qui complète la présente étude historique et géo-politique.
Notre travail s’adresse aux hommes et aux femmes responsables et authentiquement libres. Cela exclu, hélas, les islamistes et la majorité des autorités musulmanes puisqu’ils ont, depuis fort longtemps, adopté la tactique préconisée par le coran et qui consiste à rejeter toute forme de dialogue. Discuter dans ces conditions serait entrer dans un jeu absurde de palabres stériles, ce serait perdre son temps et son énergie pour rien."