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Commentaire de Philou017

sur Quand une théorie scientifique n'est-elle plus une théorie ?


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Philou017 Philou017 1er août 2008 18:07

"Pour les OGM : Un scientifique qui vend quelque chose n’est plus scientifique, il est commerçant.
Normal qu’un commerçant vante son produit, il est bon pour la peau, il contribue à faire ceci ou cela . . . c’est de l’argumentation commerciale ; rien à voir avec de la vraie science. "


Sauf que cette argumentation commerciale est présentée comme purement scientifique, comme dans bien d’autres domaines. Les pro-Ogm seraient des gens raisonnables, alors que les anti seraient des croyants rétrogrades. La réalité montre qu’il n’en est rien. Des rapports scientifiques ont été falsifiés, des contestataires étouffés, des affirmations fauuses ont été avancées par des scientifiques amis. Et le lobbying intense concerne aussi les journaux. Partout, en médecine, alimentation, agriculture, géo-politique, des experts sont envoyés devant les télés alors qu’ils ont des intérêts particuliers avec des complexes industriels. La science est aujourd’hui plus que jamais payée par la finance. Les contestataires n’ont pas acces à ces médias, ni aux revues "scientifiques".

Si un scientifique avait des éléments pour détruire la théorie de Darwin, je pense que nous serions au courant.
Peut être avez-vous des éléments qui mettent en défaut cette théorie ?
Cette théorie n’étant pas réfutée à ce jour , c’est un fait.
Je ne veux pas rentrer dans ce débat. C’est aux tenants de cette théorie de la démontrer, pas à moi de démontrer qu’elle est fausse. Or, les preuves n’existent tout simplement pas.

Quelques avis autorisés :

Le paléontologue Niles Eldredge décrit l’insatisfaction avec une interprétation Darwinienne des fossiles : « Pas étonnant que les paléontologues se soient esquivés de l’évolution depuis is longtemps. Elle ne semble jamais se produire. Quand nous voyons l’introduction d’une nouveauté évolutionniste, elle se produit habituellement d’un coup sec, et souvent sans ferme évidence que les fossiles ont évolué ailleurs ! L’évolution ne peut pour toujours se produire quelque part ailleurs. Cependant c’est ce que les fossiles démontrent aux paléontologues cherchant à apprendre quelque chose au sujet de l’évolution. »

Pour essayer d’adoucir le dilemme, dans les années 70 , Eldredge et Stephen Jay Gould ont proposé une théorie qu’ils ont appelé « l’équilibre ponctué ». La théorie postule deux choses : 1° pour de longues périodes la plupart des espèces ont encouru peu de changements observables ; et 2 » quand ces changements se sont produits, ils furent rapides et concentrés dans des petites populations isolées. Si tel fut le cas, alors les fossiles intermédiaires seraient durs à trouver, ce qui irait avec les fossiles découverts. Ils croient en une descendance commune mais pensent que c’est une mécanisme autre que la sélection naturelle qui est nécessité pour expliquer les changements rapides, à grande échelle.

Les biologistes anglais Mae-Wan Ho et Peter Saunders se plaignent de la manière suivante : « Cela fait maintenant près de 50 ans que la synthèse néo-Darwinienne a été formulée. Beaucoup de recherches ont été faites à l’intérieur des paradigmes qu’elle définit. Cependant le succès de la théorie se limite à la microévolution, comme le changement adapteur dans la coloration des papillons de nuit ; ce qui est remarquablement peu à dire concernant les questions qui nous intéressent le plus, comme la manière que les papillons de nuit sont arrivés en premier lieu. »

Jerry Coyne, du département d’écologie et d’évolution de l’université de Chicago, arrive à un verdict non anticipé : « Nous concluons - de manière inattendue - qu’il y a peu d’évidence pour la vision néo-Darwinienne ; ses fondations théoriques et les évidences expérimentales qui la supportent sont faibles ».
www.croixsens.net/creation/darwinblackbox.php
 

Les aspects les plus importants, à mon sens, de l’argumentation de Moreel sont les suivants : en tout premier lieu, le darwinisme n’est pas scientifique parce qu’il s’efforce de répondre au pourquoi et pas au comment, aboutissant littéralement à des tautologies qui n’ont de scientifiques que le nom. Elles satisfont superficiellement l’esprit humain qui pense facilement suivant les règles du « pourquoi », mais cela ne constitue en rien une approche scientifique des choses, mais bien plutôt une approche philosophique ou métaphysique. Moreel donne notamment des éléments concrets illustrant l’erreur épistémologique majeure qui se cache dans cette démarche, et ce seul aspect est à mon sens un très bon moyen de s’entraîner à comprendre le point de vue scientifique et de raisonner sainement en termes épistémologiques (ce livre est par endroit, en quelque sorte, un cas pratique d’épistémologie).

De fil en aiguille, il montre également comment la pensée darwinienne est littéralement devenue un dogme, empêchant de penser correctement en biologie, au point d’exclure les résultats expérimentaux qui ne vont pas dans le sens de la théorie, et au point même - dans le cas par exemple de la théorie du gène égoïste - de retenir l’exception pour justifier la règle.
www.holybuzz.com/Le-Darwinisme-envers-d-une-theorie.html


Et bien d’autres :
http://www.uip.edu/uip/spip.php?article256

De l’opposition à l’union Quant aux conditions à l’oeuvre dans cette mystification, Jonathan Wells, biologiste moléculaire, nous les révèlent : "Les darwinistes dogmatiques commencent par imposer une interprétation très étroite et déclarent que c’est le seul moyen de faire de la science. Les critiques sont alors traités de non-scientifiques et leurs articles sont alors rejetés par les journaux du courant dominant, dont la ligne éditoriale est dominée par les dogmatiques. Ceux qui se montrent critiques se voient interdire les fonds accordés généralement par les agences gouvernementales, qui envoient les propositions de subvention aux dogmatiques pour leurs revues "paires". Eventuellement, ces critiques sont exclus de la communauté scientifique. Dans ce processus, les preuves contre la vision darwinienne finissent par disparaître tout simplement, comme les témoins s’effacent devant les criminels. Il arrive qu’elles soient dissimulées dans les publications spécialisées, auxquelles seul un chercheur consciencieux peut accéder. Les critiques sont réduits au silence et les preuves sont enterrées. Les dogmatiques déclarent alors qu’il existe un débat scientifique à propos de leur théorie mais qu’aucune contre-preuve n’existe*." Un bel exemple de propagande idéologique, sous couvert de science, aujourd’hui encore largement ignoré.
www.saphirnews.com/Darwin-est-mort_a2681.html


Bien sûr il y en a qui croit encore à Adam & Eve . . . mais qui est naïf ?

Ceux qui croient sans vérifier par eux-mêmes.

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