"Pour les OGM : Un scientifique qui vend quelque chose n’est plus scientifique, il est commerçant.
Normal qu’un commerçant vante son produit, il est bon pour la peau, il contribue à faire ceci ou cela . . . c’est de l’argumentation commerciale ; rien à voir avec de la vraie science. "
Sauf que cette argumentation commerciale est présentée comme purement scientifique, comme dans bien d’autres domaines. Les pro-Ogm seraient des gens raisonnables, alors que les anti seraient des croyants rétrogrades. La réalité montre qu’il n’en est rien. Des rapports scientifiques ont été falsifiés, des contestataires étouffés, des affirmations fauuses ont été avancées par des scientifiques amis. Et le lobbying intense concerne aussi les journaux. Partout, en médecine, alimentation, agriculture, géo-politique, des experts sont envoyés devant les télés alors qu’ils ont des intérêts particuliers avec des complexes industriels. La science est aujourd’hui plus que jamais payée par la finance. Les contestataires n’ont pas acces à ces médias, ni aux revues "scientifiques".
Si un scientifique avait des éléments pour détruire la théorie de Darwin, je pense que nous serions au courant.
Peut être avez-vous des éléments qui mettent en défaut cette théorie ? Cette théorie n’étant pas réfutée à ce jour , c’est un fait.
Je ne veux pas rentrer dans ce débat. C’est aux tenants de cette théorie de la démontrer, pas à moi de démontrer qu’elle est fausse. Or, les preuves n’existent tout simplement pas.
Quelques avis autorisés :
Le paléontologue Niles Eldredge décrit l’insatisfaction avec une interprétation Darwinienne des fossiles : « Pas étonnant que les paléontologues se soient esquivés de l’évolution depuis is longtemps. Elle ne semble jamais se produire. Quand nous voyons l’introduction d’une nouveauté évolutionniste, elle se produit habituellement d’un coup sec, et souvent sans ferme évidence que les fossiles ont évolué ailleurs ! L’évolution ne peut pour toujours se produire quelque part ailleurs. Cependant c’est ce que les fossiles démontrent aux paléontologues cherchant à apprendre quelque chose au sujet de l’évolution. »
Pour essayer d’adoucir le dilemme, dans les années 70 , Eldredge et Stephen Jay Gould ont proposé une théorie qu’ils ont appelé « l’équilibre ponctué ». La théorie postule deux choses : 1° pour de longues périodes la plupart des espèces ont encouru peu de changements observables ; et 2 » quand ces changements se sont produits, ils furent rapides et concentrés dans des petites populations isolées. Si tel fut le cas, alors les fossiles intermédiaires seraient durs à trouver, ce qui irait avec les fossiles découverts. Ils croient en une descendance commune mais pensent que c’est une mécanisme autre que la sélection naturelle qui est nécessité pour expliquer les changements rapides, à grande échelle.
Les biologistes anglais Mae-Wan Ho et Peter Saunders se plaignent de la manière suivante : « Cela fait maintenant près de 50 ans que la synthèse néo-Darwinienne a été formulée. Beaucoup de recherches ont été faites à l’intérieur des paradigmes qu’elle définit. Cependant le succès de la théorie se limite à la microévolution, comme le changement adapteur dans la coloration des papillons de nuit ; ce qui est remarquablement peu à dire concernant les questions qui nous intéressent le plus, comme la manière que les papillons de nuit sont arrivés en premier lieu. »
Jerry Coyne, du département d’écologie et d’évolution de l’université de Chicago, arrive à un verdict non anticipé : « Nous concluons - de manière inattendue - qu’il y a peu d’évidence pour la vision néo-Darwinienne ; ses fondations théoriques et les évidences expérimentales qui la supportent sont faibles ».
www.croixsens.net/creation/darwinblackbox.php
Les aspects les plus importants, à mon sens, de l’argumentation de Moreel sont les suivants : en tout premier lieu, le darwinisme n’est pas scientifique parce qu’il s’efforce de répondre au pourquoi et pas au comment, aboutissant littéralement à des tautologies qui n’ont de scientifiques que le nom. Elles satisfont superficiellement l’esprit humain qui pense facilement suivant les règles du « pourquoi », mais cela ne constitue en rien une approche scientifique des choses, mais bien plutôt une approche philosophique ou métaphysique. Moreel donne notamment des éléments concrets illustrant l’erreur épistémologique majeure qui se cache dans cette démarche, et ce seul aspect est à mon sens un très bon moyen de s’entraîner à comprendre le point de vue scientifique et de raisonner sainement en termes épistémologiques (ce livre est par endroit, en quelque sorte, un cas pratique d’épistémologie).
De fil en aiguille, il montre également comment la pensée darwinienne est littéralement devenue un dogme, empêchant de penser correctement en biologie, au point d’exclure les résultats expérimentaux qui ne vont pas dans le sens de la théorie, et au point même - dans le cas par exemple de la théorie du gène égoïste - de retenir l’exception pour justifier la règle.
www.holybuzz.com/Le-Darwinisme-envers-d-une-theorie.html
Et bien d’autres :
http://www.uip.edu/uip/spip.php?article256
05/08 13:50 - Ornithorynque
Le CNRS est un très mauvais exemple : c’est une institution dans laquelle la théorie de (...)
03/08 15:24 - sobriquet
Je n’ai pas voulu dire que l’algèbre non commutative ne pouvait pas être utilisée (...)
03/08 13:17 - thirqual
Par contre pour Lucie et consorts c’est mort, on sait très bien quand se sont produites (...)
03/08 13:15 - thirqual
Je ne sais pas si c’est vrai, mais pendant les inversions de champ magnétique celui-ci (...)
02/08 21:22 - manuelarm
Pas de chance l’algebre non commutative est dans le domaine de ce que l’on pourrait (...)
02/08 17:18 - Thomas
A propos de théorie scientifique, de théorie de l’évolution et de créationnisme, voir (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération