Je trouve un peu navrant que l’auteur limite les ilbertés à la liberté sexuelle. A tel point qu’il trouve qu’on n’a jamais été aussi libre que sous Giscard parce qu’on a commencé à avoir plein de films de culs.
Giscard est l’un des premiers à restreindre les libertés individuelles. Par exemple c’est lui qui a supprimé le privilège des bouilleurs de crus, interdisant aux paysans de fabriquer leur propre alcool de Mirabelle. A propos de paysan il est interdit aujourd’hui de tuer une vache, un mouton ou un cochon chez soi, sauf si on est arabe et qu’on le fait dans sa baignoire le jour de l’ait-kébir.
Le sexe n’est qu’une petite partie de la vie, en tout cas pour ceux qui ont une vie bien remplie. Le phénomène de la disparition de nos libertés individuelles vient du "tout sécuritaire" qui malheureusement se vend trés bien. Il suffit qu’une mémé crie au secours parceque son bambin s’est coincé le pied dans les chiottes et demande réparation au président de la république pour que nos politiciens jouent les Zorros devant les médias et se dépêchent de réglementer les trous des chiottes.
La liberté passe par la liberté de bouger de l’argent. Sous des prétextes complètement fallacieux de lutte contre le crime organisé on a empêché les français de commercer en dehors des circuits contrôlés. Cela a d’abord été la disparition des chèques au porteur puis en définitive l’interdiction de payer cash au dessus de 3.000 euros. Il faut que la police puisse suivre tous vos mouvements. Le délinquant, c’est vous.
95% des élus étant ré-élus il faut croire que la jeunesse et les moins jeunes sont ravis de ce carcan.
Ayant vécu dans des pays libres en Amérique latine, je peux vous dire que les français se sont réduits eux-mêmes à l’état de larves sans défense et que le premier trou économique qui empêchera l’état papa de leur tenir la main se traduira par une catastrophe humaine, bien peu d’entre-eux étant capables de faire face à des situations d’urgence. Quand on en vient à désigner des cellules d’assistances psychologique pour tout et n’importe quoi, la fin est proche.