par JPC45 (IP:xxx.x35.8.126) le 15 août 2008 à 18H57
L’état compense les exonérations de charges, c’est la cour des compte qui le dit.
La cour des comptes, le pape, sa femme, ses gosses, m’affirment, qu’il y a du yaourt au pis des vaches :
Merci, c’est bon, passez votre chemin. Quand le généralissime est une enflure, les soldats n’ont pas les moyens de relever le niveau.
J’avoue ensuite que vous ne manquez pas d’esprit pour rebondir et sans cesse rebondir en sortant un argument pour justifier vos dire.
Ce que vous pensez n’engage que vous. Si c’est un compliment, tant mieux, sinon, comme injure, c’est plutôt tiède, en tout cas sans conséquence.
Vous parlez de perte du ce mécansime (blocage) mais sans le mécanisme d’aide, il y aurait moins d’emploi (il y a création d’emploi mais à quel coût pour l’état !!) et donc moins de recette pour la sécurité sociale et plus de chomage (pourtant je croyais qu’il faaalit réduire le chomage).
Ce que vous croyez vous regarde, ce que je crois ne vous effleure même pas.
Bien sur vous ne donnez aucun chiffre sur les gains éventuels.
Là vous imitez le plaisantin de l’ an 2000. Vous réclamez le bogue qui n’existe pas.
Je lis des notes et avis d’experts sur le sujets mais aucun n’a sorti ce genre d’argument, dois en conclure que tous les experts se trompent et n’ont aucun cerveau et que donc vous avez tout compris
Pourquoi pas, aprés tout ? Je ne suis pas coincé par des shémas de pensées. Je n’ai pas d’oeillères et marches en dehors des ornières. Je n’ai aucun scrupule à faire le tour d’un problème, pour me faire une opinion. Point important, quand je ne suis pas sur,et à plus forte raison, quand je ne sais pas : je ferme ma gueule.
Si je dis n’importe quoi, nul ne vous empêche de vérifier, de recalculer et de tester.
Ce à quoi vous aspirez, est votre problème, pas le mien. En ce qui me concerne, je ne suis pas ici en prosélyte, juste pour faire savoir que j’existe, je suis contre les enculeries qui se fomentent et s’appliquent. je suis contre, et je suis incapable de m’immoler comme un bonze du vietnam, ce qui signifie, qu’il y a un point , au delà duquel je ne pourrais plus reculer, et j’avancerai, en espérant ne pas etre seul, ce jour là.