Je ne sais pas. Et je ne suis pas là pour défendre la stratégie militaire des USA, mais pour simplement rééquilibrer les choses. Je n’ai pas écrit cet article pour valoriser les USA, mais pour dire que le monde est beaucoup plus complexe que cela, et ma 3é partie le démontrera, du moins je l’espère, car la seconde va me valoir encore plus de bois vert que la première. Les USA avec e-ses alliés ne sont plus au total les plus riches, les plus puissants, les plus armés, les plus nombreux, ayant le plus grand nombre de territoires ni non plus en surface, ni en matière première et ne sont pas responsable de la majorité des exactions dans le monde ; Volà ce que je veux dire. Et mes positions antérieures et futures sont bien là pour prouver que la civilisation que nous proposent les USA est à des années lumières de mes souhaits.
Mais ici ce n’est même pas la peine de s’expliquer, car c’est un vrai dialogue de sourd. On me sort que je suis stupide, aveugle, sourd, néocon, atlantiste. Enfin des paroles très argumentées et de grand finesse. On en est à nier les atrocités soviétiques et russes, de les minimiser, de les expliquer, on oublie toutes les autres guerres très nombreuses et très très meurtrières dans lesquelles les USA ne sont pas du tout en cause. Et si on faisait la somme des morts, ce qui est un horrible calcul, dus à chaque pays, car on oublie aussi icvi très souvent que les USA ne sont pratiquement jamais intervenus seuls, à la différence des russes par exemple ou des Iraniens, ou des Irakiens, on verrait bien que dans ce total morbide les USA ne sont ni les seuls, ni en tête. Mais de cela ce n’est même pas la peine de l’aborder. On me sort des absurdités de présence militaire américaine dans 153 pays (et on va croire cette connerie !) alors qu’il n’y a sur notre planète selon les décomptes entre 181 et 185 pays. On mélange tout, les missions de l’ONU, les demandes d’aides, les interventions humanitaires, les coalitions et on prend le tout sous une seule rubrique et on dit par ailleurs que les russes ne sont jamais intervenus. Bon.