PJCA

1) je ne vois pas de comparaison évidente entre les Bushistes et les Nazis ; le mal prend des formes différentes selon les époques. Ainsi, on ne massacre pas de Juifs aux USA.

Cette comparaison entre USA et Nazis est constante chez d’autres :
voyez Leila, ci-dessus, à qui je m’adressais, ce qui lui vaut un plébiscite sur ce fil, et à moi d’être censurée.
Voyez Maugis, ci-dessous, qui va même plus loin : Hitler est beaucoup mieux que Bush…
C’est sûr, comme vous le dites vous-même, Bush ne massacre pas de Juifs aux USA, ce qui est en effet une grosse tare.


2) Parlant du but visé ensoulignant les crimes des USA, toutefois, il y a une similitude : ammener les responsables devant un tribunal de type Nuremberg et les faire condamner pour crimes de guerre.

Ah ? je n’ai pas vu cela écrit… Mais, ce me semble, pour Hitler, il s’agit de crimes contre l’humanité, est-ce que vous confondez ?
votre ami Morice rappelle qu’utiliser induement les cocardes de la Croix-Rouge est un crime de guerre… À Nuremberg, ce qui se jugeait contre les Nazis était de cet ordre ?


3) Un virus n’est pas un insecte, ni une espèce inférieure qu’on traite à l’insecticide : c’est la source d’une maladie. Voir un parallele avec l’extermination des Juifs est littéralement délirant.

Ah ? Là, enfin, on en arrive à mes reproches à votre égard. Laissez-moi vous dire que votre défense est dérisoire et assez minable. Qui croyez-vous tromper ?
Le virus n’est pas un insecte, non, ni un rat… merci. Je parle de votre métaphore que toute le monde comprend, et au premier chef les antisémites : Le Pen, avec l’extrême-droite, est un grand utilisateur de ces formules dont le message pseudo-crypté est parfaitement clair pour qui de droit !.
Virus, rat, cafard, tout ça c’est de la VERMINE. Et comme vous le dites très bien, il faut classer les pathogènes par similitudes, pour qu’ils soient plus faciles à reconnaître…
Les Nazis avaient tenté la chose, en effet, par des classements anthropométriques et pseudo-scientifiques… Mais rien ne vaut une bonne grosse métaphore, n’est-ce pas, ou les clichés fantasmés (voir le Vieil homme et l’enfant, passé l’autre soir… les Juifs, ça se reconnaît parce que ça pue, par exemple, c’est comme les Noirs, n’est-ce pas…).

Monsieur, je pense que vous êtes un beau manipulateur qui se couvre derrière une belle rhétorique et envoie au casse-pipe les faibles d’esprit dont vous stimulez l’abjection. 

La preuve : regardez, votre réponse intervient juste après l’intervention de Cascabel qui parle de tuer BHL. Non seulement ça ne vous dérange pas, mais vous lui conseillez la bonne solution (finale ?), en disant que BHL est un virus, et que pour s’en débarrasser (vous lui filez la métaphore), ce n’est pas avec des armes…

Cascabel a parfaitement compris le message caché, et il vous répond très bien par son portrait du virus, qui ne supporte pas la vue d’une croix, n’est-ce pas, et qu’il faut tuer avec une balle en argent (en gras, pour que soit bien clair le lien entre BHL le juif, et l’argent…)

Alors, mon bon monsieur, mon analyse est aussi délirante que vous vous voulez le faire croire ?

Quant à votre dernier § sur ma négation (où ça ?) des atrocités commises par les Israéliens, après ceux de vos ancêtres normands, ça ne trompe personne : cet écran de fumée qui devrait cacher vos idées nauséeuses ne fait que propager la puanteur de votre sale tambouille.