Pas trés performant ces américains : il leur aura fallu attendre 69 (année érotique) pour se rendre sur la Lune, alors que les poètes s’y rendent sans effort depuis des siècles... Un exemple ? Cyrano de Bergerac bien sûre ! Je ne connais pas de meilleure guide pour aborder cet astre, que d’aucun compare à une partie charnue et charmante de notre humaine, trop humaine - comme dirait l’autre - anatomie,,, Bref : un beau cul, une belle Lune. Il faut se souvenir de cette maxime quand on se trouve au creux de la vague, pret à boire la tasse pour la dernière fois... Un beau cul, une belle Lune. Mine de rien, ça peut vous sauver du naufrage définitif. Mais faut quant même avoir en tête que le cul c’est comme la Lune : ça se décroche difficilement. Inutile de le demander au Père Noel. Il n’a pas cet article dans sa hotte et on n’a pas trés envie qu’il nous en montre une version originale, en soulevant les pans de son ample manteau rouge. On préfère encore se taper la planète Mars en compagnie d’un robot US... C’est dire le désarroi de l’être humain quand le désire s’en mèle : le cul, cet Eden à portée de main, devient alors aussi inacessible que la plus lointaine des planétes... Et point de télescope pour nous en faire "connaître" de façon satisfaisante les adorables particularités ! Je veux simplement dire par là que, si des planètes dignes de retenir notre attention et méritant une exploration approfondie ont l’heureuse faculté de se glisser sous nos draps, elles ont aussi celle, moins heureuse, de nous métamorphosé en petit sattellites hargneux et inquiets à l’idée de se perdre dans des infinis glacés et dénués d’amour.