ENCORE MOI
Je répète que tous les commentaires faits sur cette affaire depuis le début puent l’a priori et l’affirmation gratuite .
Allez donc voir le site "secret défense" et" le point" . Messieurs Merchet et guisnel sont des journalistes sérieux et responsables. ils parlent bien des mêmes choses que le canard avec une seule différence : ils ne sont pas surs et attendent des explications avant de dire n’import quoi .
Le déroulement des événements décrits par eux est clair et précis et le reste ne sont pour l’instant que des suppositions .
Maintenant je vais vous dire une chose que personne à ma connaissance n’a encore jamais dite : Où était le capitaine ?,
C’est la première question que je me suis posée . Une colonne d’une centaine de soldats , d’unités composites en plus, est normalement commandée par un capitaine ou au moins par un lieutenant expérimenté .
L’absence de coordination au moment de l’accrochage serait selon moi aussi due à l’absence de chef du détachement . On parle du chef de la première section mais de personne d’autre . Je me suis renseigné auprès deVRAIS proches du 8ème RPIMA et il semble bien que l’on ait fait l’économie de ce capitaine . Pourquoi ? je n’en sais rien mais sur ce point j’aimerais qu’on me trouve une bonne réponse .
Contrairement à la plupart d’entre vous j’ai commandé en opération des unités de ce type , mixant des éléments de plusieurs régiments et des autochtones . Nous étions(, il s’agitdu Tchad) beaucoup plus armés et nombreux alors que l’adversaire était nettement moins dangereux que les Talibans .
Voila ce que je voulais quand même dire ce qui ne fait pas que j’accorde crédit à tous ces raisonnements de café du commerce qui envahissent AVOX .
Autre point : Le coup de la trahison de l’interprête ! Quelle naïveté de la part de certains . Dès que l’unité quite ses quartiers l’adversaire est prévenu . Ceci est vieux comme la guérilla et remonte au moins à la guerre d’espagne . La notre, celle de Napoléon .
Salut et fraternité