Avouons-le, messieurs, entre un joli magot et la nationalité française, il serait criminel de balancer... J’ai d’ailleurs en la principauté de Monaco un ami trés cher qui est de bon conseil là-dessus. Il n’empéche ! On ne peut que regretter le temps béni où des fortunes considérables gisaient dans le con de la gent féminine. "Vu de dot, pas mal", disait-on en ce temps-là. Quoi de plus jouissif qu’une mine d’or entre les jambes - fussent-elles courtaudes- d’une dame ? Je suis un fervent de ce genre de pratique où l’utile ne contredit pas forcément l’agréable... Et même dans le cas où la "mine d’or" se révèle d’un usage délicat, il nous reste la ressource de la mettre en "jachère" et d’en extraire quelques pépites, afin d’aller butiner notre bonheur ailleurs... Sans doute nous reste-t-il aujourd’hui maint Californies à découvrir sous les juppes, avec, pour ce genre de ruée-là - la ruée au Con, le grand avantage de n’avoir point besoin de cotoyer d’affreux rustres américains comme il s’en trouve encore, parfois, en ce prétendu "Nouveau Monde"...