Il n’y a pas de taux optimal de prélevement, mais il existe bien un taux maximum de prélevement. Ce taux maximum de prélévement psychologiquement accepté est d’ailleurs différent pour chaque acteur économique. selon, ses propres perceptions et analyses : chaque acteur économique "optimise" son degré de satisfaction.
Depuis plus de 30 ans, le contexte international lui permet de "localiser" ses gains et d’optimiser ses recettes. Pour la France, c’est fait pour toutes les grandes sociétés qui ont toutes utilisées notamment le marché des futures pour localiser en toute légalité dans un pays "accueillant" leurs recettes. Les moyennes sociétés et les gros "contribuables" sont se sont, eux-aussi, progressivement protégès.
Tout celà pour dire, qu’une énorme partie de la richesse créée en France ne rentre pas dans les comptes de la nation. et que chaque année c’est un peu plus de richesse qui s’en va..et ne viendra pas "aider" à résorber le poids de la dette. La responsabilité en incombe bien à la fiscalité française et , autre volet peut-être à analyser, à la "perception" que les acteurs économiques ont de l’UTILISATION des fonds de cette fiscalité.... Alors, sauf à changer complétement de politique et tant que "consensus social perdurera", l’ascencion du poids de la dette dans les comptes de la nation continuera... ou au mieux se stabilisera.