d’où mon articile sur "l’irresistible ascension de la dette". A moins d’une thérapie de choc, nous sommes piégés par d’un côté les engagements et les dépenses et de l’autre l’absence de recettes supplémentaires.
Malgré les catastrophiques performances de l’education nationale (surtout sachant que nous ninvestissons le plus par tête de pipe) qui montre bien que le nombre d’enseignants ne fait pas la qualité de l’enseignement, nous voyons des bouclier se lever contre la diminution du nombre d’enseignants. selon certains, il en faudrait même plus.
Nous fractionnons les classes pour mettre de côté les plus faible avec la bonne intention de nous consacrer à eux, en nous adaptant à leur rythme. Normalement, pour compenser un retard, il faut travailler plus...et non l’inverse. Moins vite, mais plus longtemps.
or, ce n’est pas le cas. et l’on entend les professeurs (ma femme est prof, elle me raconte) dirent : "pour ces gamins, tout est déjà joué. ils ne feront jamais rien de bon."
C’est encore curieux qu’une association de lutte contrze la discrimination n’ait pas encore prit ce problème à bras le corps... car les plus faible sont mis de côté et abandonnés malgré le fait qu’il y ait des classes plus petites, plus d’enseignants...