Bon, trêve de plaisanterie !

En premier lieu, pour l’honneur de sa fonction, elle aurait pu prendre un mari… !

Son problème, prendre un mari qui partage sa religion, c’est accepter d’être soumise à lui dans tous les domaines, donc incompatibilité totale avec sa fonction. Vos commentaires n’auraient pas manqué de le souligner.

Pas facile pour une musulmane de se marier avec un non Musulman !

En second lieu et à 42 ans, c’est son droit de femme d’avoir un enfant et d’éprouver le bonheur d’une maternité. Un enfant peu lui permettre de lui donner un amour qu’elle ne peut donner à personne d’autre.

Ne pas oublier, que cet acte a certainement choqué sa famille, qu’en France, il y a peine 50 ans, une fille mère était comme on disait : une moins que rien… !

Que dans les pays Musulmans, cette situation la ferait considérer comme une prostituée.

Alors, à notre époque, n’étant pas naïve, elle aurait pu facilement mettre un terme discrètement à cette grossesse. Pourquoi elle ne l’a pas fait ? Raisons religieuses ? Par désir d’avoir un enfant, rien de plus légitime en dehors de toutes considérations sur sa fonction ?

La troisième est la plus redoutable, il peut être une arme, en fonction de celui qui en est le père ? Une action en justice pour reconnaissance de paternité serait une catastrophe selon qui c’est ! et qui sait ! Cet enfant est un moyen de chantage au plus haut niveau éventuellement.

Pour l’instant, sa fonction de Ministre de la Justice, la met à l’abri de toutes déclarations formelles concernant la paternité de son futur bébé. Si elle est encore ministre de la justice à la fin de cette législature, les supputations se réduiront à un comité restreint…

Personnellement et collectivement, si nous n’avons pas de droit de regard sur la vie privée de cette personne, nous sommes toutefois tous concernés, si c’est un haut responsable de l’État, il pourrait subir des pressions que nous ne sommes pas en mesure d’évaluer, ni de connaître.

Bonne nuit.