Le téléchargement gratuit, c’est du vol.... c’est bein ce que je viiens de lire, que cela s’adresse a la musique ou au cinema.
Eh, bien non. la definition du vol serait de priver le propriétaire d’une oeuvre de celle-ci. si en telechargeant j’efface le fichier source, alors il y a vol. Pour une oeuvre de l’esprit, si je telecharge et JE VENDS la copie, là aussi il y a vol... mais si je téléchrage le film (par exemple) je le regarde (si j’arrive jusqu’au bout et s’il me plait) et que je l’efface ou que je l’archive, il n’y a pas vol... si ce film a été au moins une fois diffusé en public.
Les droits d’auteurs ont été conçu pour proteger les oeuvres uniques (une scuplture, un tableau) ou son exploitation. Le cas d’oeuvres diffusées en masse parce que la nature même des circuits de diffusion ont évolués aurait dû entrainer une modification de ce droit d’auteur, et ce n’est pas (encore) le cas.
Les internautes profitent aujourd’hui de ce vide que tentent de combler les députés en arbitrant pour l’instant dans le sens des producteurs et des distributeurs plutôt que celui des artistes et du public.
Les echanges par les reseaux "evaluables" de type P2P ne sont qu’une infime goutte d’eau et avant de crier a la mort du cinema, il faudrait être bien sûr que ces echanges n’encouragent pas le cinema lui même plutot que de dire qu’ils le tuent (voir les mesures faitres au Canada, seul pays ayant acceptér de les faire)
Le monde evolue et les gueguerres des uns et des autres ne sont que de petites peripeties de la "culture" de masse qui se dessine pour demain. ce qui est sûr c’est quie le metier de disquaire (musique et cinema) va probablement disparaite, et je ne verserai aucune larme, c’est dans l’ordre des choses. Le metier du cinema lui va tres vite s’adapter comme se sont adaptés toutes les activités humaines depuis l’origine des temps.
Nous sommes dans un monde dur de la concurrence, il ne faut pas pleurer quand cette concurrence joue conte ceux qui l’ont defendue quand cela les arrangeaient.
- interdiction de la localisation des marchés (memes dates de sortie, pas de zonage)... c’est bien la mondialisation que desire les grands groupes, hein ?
- interdiction des protections anticopies et du droit de conversion (passage en divx ou n’importe quel autre format) le consommateur achete le droit d’utiliser l’oeuvre comme bon lui semble, sauf a en tirer profit naturellement.
- interdiction de la marchandisation, c’est a dire en fait pas de refus de vente ou de diffusion par ceux qui mettent a disposition du public (les distributeurs)...
Ce sont trois mesures globales qui aideraient déjà beaucoup le monde de la musique et du cinema car elle permettrait d’assainir d’une part les reseaux cachés et de rentabiliser les offres des diffuseurs.