@ l’auteur
Je ne pense pas m’attarder avec vous car j’ai le sentiment de perdre mon temps.
Depuis le début, je voulais d’ailleurs vous demander la source bibliographique de votre "prosélytisme athée" (épargnez-moi la réponse : Alain Sandrier)
Vous me confirmer aussi votre pleine ignorance de l’histoire de l’islamisme algérien.
Une info, historique et véridique qui montre à quel point l’afghanisation des concepts politiques (communisme, athée, laïc, desposte, taghout, etc.) a eu lieu, avec la complicité des médias et des pouvoirs
(votre crasse ignorance de la tragédie yougoslave est, au passage, une belle preuve de lecture ridiculement binaire mais dont on resaisit la logique déformante une fois que l’on sait quelle est votre croyance)
C’est Sassi lamouri, Ministre des affaires religieuses qui, dès les débuts sanglants du terrorisme islamiste, s’adressait aux tueurs en ces termes :
" Pourquoi tuez-vous des policiers ? Vous savez bien que ce ne sont pas des communistes ! "
Je l’ai vu de mes propres yeux et entendu de mes propres oreilles. A la télévision algérienne. Et de la part d’un ministre, en exercice, censé représenter un islam de paix et de non-violence ! En droit, cela s’appelle une incitation au crime.
Je m’arrête ici car je ne pense pas profiter intellectuellement d’une discussion prolongée avec un "croyant" qui ignore tout ou presque des réels danger qui menance les siens.
Quant aux édifices religieux, défaites-vous du croque-mitaine pour musulmans dont Atatürk est devenu l’incarnation, principalement à cause de l’historiographie mensongère des islamistes qui ont fait de lui un "destructeur de mosquées".
Moi, les mosquées, les églises et les synagogues, j’y entre, je les photographie et je les étudie dès que je peux. Et je salue tous les croyants qui font passer la tolérance sur le respect.