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Commentaire de Alexeï

sur Aussi liberticide qu'EDVIGE : la loi du 12 avril 2000 qui protège les délateurs


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Alexeï 13 septembre 2008 21:14

Cher Monsieur, il n’est pas question en condamnant la délation institutionnalisée (en rappelant le précédent dangereux créé par la loi liberticide socialiste du 12 avril 2000) d’interdire la dénonciation des délits et des crimes. Je ne prendrais qu’un seul exemple : les actes de pédophilie. Les enseignants coupables d’attouchements et de viols, trop longtemps protégés par l’institution scolaire, doivent être dénoncés et je serai le premier à le faire si j’avais connaissance de tels actes (en sachant que je m’en prendrai plein la tronche de la part des collègues et de la hiérarchie). Vous ne pouvez ignorer que, si certaines acccusations se sont révééles fondées et ont abouti à des condamnations (hélas trop légères), d’autres ont été inventées de toutes pièces pour faire tomber un enseignant qui déplaisait à des parents malveillants ou à sa hiérarchie. Comment se défaire d’une telle accusation ? Vous ne pouvez ignorer que certains n’ont pu supporter la calomnie et ont mis fin à leur jour.

Ce que nous demandons est, en cas d’accusation infondées, d’avoir connaissance des calomnies afin, comme cela est la règle (pardon devrait l’être dans un État de droit) de poursuivre le calomniateur devant les tribunaux.


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