Je souscris à ce qu’écrit Paul Villach. En matière de pédophilie, les moeurs dans l’Éducation Nationale n’ont guère changé, surtout lorsque l’on est couvert par sa hiérarchie et la mafia politique de la région. Un instituteur coupable d’attouchements mais dont le père était le secrétaire occulte de la mairie d’Aix-en-Provence jusqu’en 2001(c’est un ancien de l’OAS qui faisait toutes les sales besognes du maire), a vu son affaire étouffée : il a été mis a la retraite mais perçoit la moitié de son salaire et a conservé le droit de travailler. Ellle n’est pas belle, la vie dans le royaume de l’hypocrisie. La place de ce type est en prison.
Ne confondez-pas avec un professeur qui a dû affronter une cabale de sa hiérarchie tout simplement parce qu’il exigeait le respect des règles de la classe. Un professeur admonesté par une hiérarchie composée de voyous : la mère, conseillée par le principal voyou, écrit à l’inspecteur d’académie pour se plaindre que sont appliquées à son enfant les régles de la classe. C’est un comble. Le professeur n’a jamais pu avoir connaissance de la lettre, en vertu de cette loi.
Nous ne demandons que le respect du contradictoire dans un État qui est censé être de droit.