Depuis le début vous perdez votre sang froid, cher auteur.
Vous vous livrez à une stratégie d’objectivation qui peut aisément se retourner contre vous
(j’imagine que c’est une déformation professionnelle, chez vous, que d’avoir le monopole légitime de la catégorisation psychologisante, procédé qui devient illicite dès qu’il vous est appliqué dans le même registre).
Je vois aussi votre profonde aptitude à "capter" l’ironie dans ce genre d’échanges ...
Je ne dirai rien sur la sémiologie et le reste. Je pense que vous pouvez vous instruire tout seul (quelques clics pour nos lecteurs suffisent pour voir et savoir que vous ne savez pas de quoi vous parlez).
Ah oui, j’oubliais :
Enfin une anecdote : un cher ami Kabyle me disait l’autr jour : je détestes les Arabes, je parle que Français en Algérie
Heureusement que je ne suis pas Allemand, j’aurais payé pour tous mes ancêtres ! Mais comme le raisonnement par analogie ne semble pas vous faire rougir ...
(je vois que vous maîtrisez les ressorts de l’argumentation honnête dans son intégralité. Belle opération mentale, en effet ! Vous en avez d’autres du même tonneau, vous qui ne savez pas faire comme le loup de La Fontaine ?)
Surtout, calmez-vous. on ne fait que discuter, ne perdez pas votre sang froid, c’est pas bon pour votre "image" de psychologue et pour votre éthique de journaliste tunisien (certainement) indépendant.
Pour un papier comme le vôtre, qui sort de l’Histoire pour faire de la dialectique terminale et de la pensée par analogie, je dois dire qu’il est à l’exigence de rigueur épistémologique ce qu’un fichier MIDI est au rendu sonore d’une symphonie en DVD.
Mais, hélas, les islamistes vous le feront comprendre bien mieux que moi. Vous aurez le temps, peut-être, de méditer sur vos analogies vaseuses sur les "prosélytismes" ...