Entièrement d’accaord avec Docdory, sur un point essentiel (je cite) :
. En l’occurrence , il s’oppose à l’autorité de la Constitution , la seule à laquelle il soit en principe soumis , Constitution qui stipule :" ARTICLE PREMIER. La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale " . Les discours antilaïques à répétition qu’il prononce très anticonstitutionnellement , sont un défi qu’il jette à la face de la République .
Point extrèmement important : en se comportant comme il le fait depuis le début de son mandat, le président de la République, non seulement sort de son rôle, mais, de plus, agit inconstitutionnellement, bafouant la loi qu’il est censé défendre, au nom du peuple français : ça porte un nom : c’est une forfaiture.
Par ailleurs,face à cette notion totalement fumeuse de "laïcité positive", (destinée, comme l’a relevé, je crois Docdory, à justifier le financement de l’école et des officines religieuses privées), on voit, du côté de l’église, que, aujourd’hui, (je cite) :
A Lourdes, Benoît XVI réaffirme son opposition à l’euthanasie
Donc....
Pas d’euthanasie, pas de divorce, pas de capote, pas de pilule, pas (évidemment) de mariage des prètres, reconnaissance et réception des catholiques intégristes ; décidément, la "religiosité positive" a du mal à, si j’ose dire, surmonter les vieux démons de l’obscurantisme le plus rétrograde.
Et doncques, pas question de céder un pouce de la laïcité de la République, face aux forces de la stagnation morale et sociale.
Il n’y a pas de laïcité positive : il y a la
laïcité, qui est la loi de la République, inscrite dans la constitution ; point barre.