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Commentaire de Nobody knows me

sur Les corbeaux citoyens d'internet


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Nobody knows me Nobody knows me 19 septembre 2008 16:02

A partit du moment où il s’agit de véritable information, il me semble que celle-ci doit effectivement être sourcée et que l’auteur en soit connu au moins un minimum, de part son cv vérifié et vérifiable par exemple !

Bonjour Gül, je suis pas sûr que Denis Robert pense le contraire, mais il doit y réfléchir à 2 fois maintenant.

C’est il me semble la grande ambiguïté du journalisme, en particulier dans les milieux mafieux, politiques ou dans les grandes industries. En effet, de tels environnements où tous les coups sont permis incitent fortement à garder ses sources secrètes, puis à se protéger soi-même et sa famille.
Le plus chiant c’est que nous lecteurs ne pouvons plus savoir qui est qui au final : diffamation entre concurrents/opposants, lobbyies, ... On ne peut que se fier à la réputation de l’auteur. Et quand on regarde les intérêts que l’auteur peut avoir en jeu, on est fini. C’est le doute absolu.

Il manque - et cela me paraît impossible, voire totalitaire de le mettre en place - une autorité de régulation, de vérification TOTALEMENT indépendante de tout intérêts (commerciaux, politiques, religieux, ...) pour vérifier les sources et les informations. Car si j’écrivais un article sur Monsanto ou ClearStream, je crois que je me planquerais en bon petit péteux que je suis. Car ces institutions et ces organisations vous bouffent jusqu’à la moelle, avec le relais de menteurs invétérés comme Val par ex. qui vous discrédite dans les medias. A la limite, le milieu mafieux doit offrir une mort plus rapide que celle, médiatique et psychologique des grands industriels/financiers.

Bonne journée à vous.


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