(polmeuris :) "...parce qu’il n’a jamais vu une femme comme ça de toute sa vie"
Je n’ai pas compris : vous voulez dire que la nature ayant doté physiquement la dame de critères de beauté tombant à pic avec l’époque de l’anorexie ou de la morne platitude, outre quelque rectification esthétique, il faudrait tomber raide devant elle ? L’amour est à ce point con ?
A noter qu’à peine 40 ans, la dame se paie un début de culotte de cheval, après le ventre subissant les outrages de la bière. Suis-je cruelle ? Oui, sans doute, en juste rétorsion à ce qui nous est servi en critères obligatoires de "beauté". Accro par amour ? Non, mon brave, accro à l’image. Vaste débat philosophique ET psychiatrique.
Pour le reste, totalement plate, Sarkozy devant se rabattre sur tout ce qui a du répondant en toc ou en vrai, l’est pas difficile le bougre, mais les grosses c’est pour les coulisses, question de prestige à sauvegarder.
Quant au contenu de son cerveau, ou ses cerveaux puisqu’elle semble dotée par attestation d’une capacité rare à les détecter (je cherche toujours comment, et je ne vois pour l’instant dans ma boule de cristal que les excès de la fumette), ses interviews correspondent à ce que l’auteur relève ici : un alignement de poncifs, émanation directe d’un monde de pub devant soulager... les cerveaux. Ceci expliquant probablement cela : le bruit du vide assimilé au cerveau qui pense.
Tout juste bons pour les salons de thé, mondains ou non, seul le décor change, mes concierges k’on-pas-fé-l’école, font aussi bien dans leur loge.
L’angoisse m’étreint chaque fois que je les croise.
Avantage avec Carla : je peux l’éviter.
Bon faudrait qu’elle pense quand même à s’occuper vraiment de l’humanitaire autre qu’elle-même parce que le moi-je (texte cité par l’auteur) semble s’étendre au couple.