« La règle est qu’on ne doit pas parler du 11 septembre ». C’est à l’évidence ce qui prévaut encore et toujours en France et très largement ailleurs. Mais des brèches apparaissent. Et elles iront en s’élargissant. Beaucoup de gens s’y emploient avec une énergie extraordinaire.
Il y aura un point de basculement.
Aujourd’hui encore beaucoup d’intellectuels, faisant fi du doute méthodique, s’empêchent d’oser envisager l’inenvisageable. Repoussant instinctivement l’idée, peu d’entre eux ont daigné regarder dans le téléscope, à l’image de cette lettre de Galileo Galilei à Johannes Kepler :
"My dear Kepler, what would you say of the learned here, who, replete with the pertinacity of the asp, have steadfastly refused to cast a glance through the telescope ? What shall we make of this ? Shall we laugh, or shall we cry ?"
C’est cette attitude qu’il faut ébranler en en démontrant l’urgente nécessité.
D’ailleurs, le 11 septembre peut se résumer en 20 mots implacables :
« L’accélération instantanée du WTC7 s’effondrant, proche de 9,81 m/s² plusieurs secondes durant, est totalement incompatible avec la thèse officielle ».
Ce postulat, qui mérite quelques explications (http://vigli.org/freefall.htm) n’offre de la place qu’à des « oui mais » de diversion sans fondement. 20 étages de façade visibles sont tombés au nez et à la barbe du monde entier, selon l’accélération maximale permise par la gravité (chute libre) sans que les 27 étages inférieurs n’offrent aucune résistance, 2,5 secondes durant.
C’est incontournable. Et c’est en complète contradiction avec la thèse officielle. Cette thèse qui essaie, sans succès, de semer la confusion et de faire diversion avec des modèles alambiqués qui n’impressionnent que ceux qui ne font pas confiance à leur propre raisonnement ou se laissent embuer l’esprit par des questions subalternes (de type « mais pourquoi … » ).
C’est de la physique élémentaire d’école secondaire. Il faut uniquement avoir l’audace et la sincérité de « regarder dans le télescope ». Puis de suivre une démarche scientifique méthodique pour conforter cette hypothèse.
Une remise en cause d’une telle ampleur ébranle beaucoup de repères et est très déstabilisante. Les rebuffades ironiques, voire souvent agressives, des tenants du statu quo traduisent bien ce sentiment.
Il faut aussi remettre les pendules à l’heure. 2001 peut sembler loin pour certains (!) mais les scientifiques et les ingénieurs n’ont véritablement pris le train en route qu’il a peu (Steven Jones, 2005 ; Richard Gage, 2006). Tout cela est très récent et d’une grande actualité.
Face aux défis, il est urgent que le rythme s’accélère et que la remise en cause s’amplifie, tant aux Etats-Unis qu’en Europe ou ailleurs. Pas tant pour le 11 septembre en tant que tel mais pour tout ce qu’il représente pour l’avenir, y compris l’avenir proche.
Quant à Jimmy Walter, qu’il ait passé la main est fort compréhensible et nullement inquiétant. Il reste d’ailleurs très actif dans sa critique du système, notamment via les mises en gardes écrites qu’il adresse régulièrement à qui de droit.
Cordialement
ir Jean-Luc Guilmot