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Commentaire de John

sur Banlieues : les cinq (grosses) erreurs de Sarkozy


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John (---.---.167.26) 12 octobre 2006 18:08

Mais qu’est que les convictionj teligieuses de Sarkosy vienne faire dans ce débat. D’abord Sarkozy n’est pas juif mais catholique, et quand bien même il le serait qu’est ce qu’on en a à faire. Bravo Qandicha, elle est reussit « ta petite intrusion » dans un débat franco-français. Franchement t’aurais mieux fait de t’abstenir.

Je savais que Nicolas Sarkosy était Catholique, voici ce qu’en dit Wikipédia.

"Origine et enfance

Il est le fils d’un Hongrois, Pál Nagy-Bócsay Sárközy né à Budapest, en 1928, dans une famille de l’aristocratie hongroise, possédant des terres et un château à Alattyán, à 100 km de la capitale. À l’arrivée de l’Armée rouge en 1944, la famille est contrainte à l’exil. Après de nombreuses péripéties à travers l’Autriche et l’Allemagne, Paul Sarkozy rencontre un recruteur de la Légion Étrangère à Baden-Baden. Il signe pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ en Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Son nom est alors francisé en « Paul Sarkozy de Nagy-Bocsa ». Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu’il épouse. Cette dernière, fille d’un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, juif séfarade de Salonique, est alors étudiante en droit.

Nicolas Sarkozy naît en 1955 ; il est catholique baptisé. Il a deux frères : Guillaume, né en 1952, futur patron dans le textile (un temps vice-président du MEDEF) et François, né en 1957, qui devient pédiatre puis chercheur en biologie. Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l’affaire Villarceaux. Paul Sarkozy se marie encore trois fois. Du second de ses mariages, il a deux autres enfants : Caroline et Olivier.

Nicolas Sarkozy passe son enfance dans le XVIIe arrondissement de Paris puis à Neuilly-sur-Seine. Il redouble sa sixième au lycée public Chaptal. Ce passage du privé au public ne dure qu’une année scolaire ; il est ensuite élève au lycée privé Saint-Louis de Monceau. Il obtient le baccalauréat B en 1973, et la famille s’installe à Neuilly."

et la seule chose qui nous intéresse ce sont ses idées et sa carrière :

"Carrière élective locale : Depuis 1977, conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine ;
- 1983 - 2002, maire de Neuilly-sur-Seine (60 364 habitants) ; (depuis 2002 : adjoint « hors rang ») ;
- 1983 - 1988, conseiller régional d’Île-de-France ;
- 1986 - 1988, vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine, chargé de l’enseignement de la culture ;
- Depuis 2004, conseiller général du canton de Neuilly-sur-Seine Nord, président du conseil général des Hauts-de-Seine.

Carrière politique

- En 1977, membre du comité central du RPR.
- 1978-1979, délégué national des jeunes du RPR.
- 1979-1981, président du Comité national des jeunes en soutien à Jacques Chirac pour l’élection présidentielle de 1981.
- 1988, secrétaire national du RPR, chargé de la Jeunesse et de la Formation.
- 1989, secrétaire national du RPR, chargé de l’Animation, de la Jeunesse et de la Formation. Co-directeur de la liste d’union pour les Élections européennes.
- 1992-1993, secrétaire général-adjoint du RPR, chargé des Fédérations.
- Depuis 1993, membre du bureau politique.
- 1995-1997 porte-parole du RPR.
- 1998-1999, secrétaire général du RPR.
- 1999, président du RPR par intérim.
- 1999, tête de la liste RPR-DL pour les Élections européennes de juin
- mai 2000, élu président du Comité départemental du RPR des Hauts-de-Seine.
- novembre 2004, élu président de l’UMP avec 85,1 % des voix.

Carrière parlementaire

- Député des Hauts-de-Seine (6e circonscription des Hauts-de-Seine) :

dates de ses mandats :
- élu en 1988 (mandat jusqu’en mars 1993),
- élu en mars 1993 (remplacé par son suppléant en avril 1993, après sa nomination comme ministre du budget), élu en septembre 1995 (après la démission de son suppléant, mandat jusqu’en mai 1997),
- élu en mai 1997 (mandat jusqu’en juin 2002)
- élu en juin 2002 (remplacé par sa suppléante Joëlle Ceccaldi-Raynaud, en juillet 2002, après sa nomination comme ministre de l’Intérieur),
- élu le 13 mars 2005 (après la démission de sa suppléante, mandat venant en principe à échéance en juin 2007) ; lors de cette élection partielle, il est réélu au premier tour, avec 70,01 % des suffrages exprimés, et 41,38 % de participation ;

membre des commissions parlementaires :
- de juin 1988 à avril 1991 : membre de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République ;
- d’avril 1991 à avril 1993 : membre de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales ;
- d’octobre 1995 à juin 2002, membre de la commission des finances, de l’économie générale et du Plan.

député français au Parlement européen :

- élu le 13 juin 1999, sur le quota réservé à la liste Union pour l’Europe, dont il était tête de liste. En raison de la loi sur le cumul des mandats (il était à ce moment-là maire de Neuilly, député des Hauts-de-Seine et député européen), il choisit, dans le délai imparti, de démissionner de son mandat de député européen, ce qui a entraîné la nomination automatique en remplacement du premier candidat non élu de la liste, son « bras droit » Brice Hortefeux, président du Comité départemental RPR des Hauts-de-Seine ; (commissions parlementaires à préciser).

Carrière ministérielle

- Mars 1993 janvier 1995, ministre du budget, porte-parole du gouvernement, puis chargé, à titre provisoire, d’exercer les fonctions du ministre de la communication (gouvernement Balladur) ;
- Janvier - mai 1995, ministre du budget, chargé d’exercer les fonctions du ministre de la communication
- (gouvernement Balladur) ;
- Mai 2002 - mars 2004, ministre de l’intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales dans le premier et dans le second gouvernement Raffarin ;
- 31 mars 2004 - 29 novembre 2004, ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie dans le troisième gouvernement Raffarin.
- À partir du 31 mai 2005, ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire, dans le gouvernement Dominique de Villepin. "

le reste n’intéresse que les sites de propagande et les journaux à scandale.


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