Les temps d’antenne accordés et le formatage des débats ne permettent guère d’aborder certains sujets. Surtout que pour les plus sensibles, le cas Bilderberg par exemple, souvenez-vous de ce que cela a donné sur le plateau de C dans l’air ; une méconnaissance, feinte ou réelle, de la totalité de nos pseudo-experts...
http://www.dailymotion.com/m4j1k/video/x4m2t6_bilderberg-connais-pas-2_politics
Aussi, chaque sujet nécéssiterait une explication de texte qui vaudrait à son auteur d’être immédiatement ostracisé par les médias. L’absence d’esprit critique requis sur des thèmes tels que le 11 septembre ou les dégâts du sionisme sont autant de preuves que le jeu médiatique a ses règles, ou ses dérèglements, et que les enfreindre, c’est renoncer à toute forme d’exposition.
Bref, la grande question sous-jacente est à mon avis : Faut-il utiliser les médias pour passer un message au risque d’être percu comme un complice du système ou les réfuter systématiquement pour préserver une forme de pureté idéologique au risque de n’être entendu par personne ? Il me semble qu’un "politique", quand bien même serait-il "révolutionnaire" n’a d’autre choix que de se plier à la première proposition de cette alternative.
Ceci dit, de là à pousser mes savates jusque chez Drucker, il y a certes un pas que je ne franchirai pas