Loïc Decrauze, admettez que vous aimez la provocation en commençant par écrire : ""L’air gourmand de certains anticapitalistes qui, enfin, tiennent leur revanche après l’évacuation de l’idéologie criminelle qu’ils soutenaient aux temps de la Guerre froide, n’augure rien de bon.""
Vous dites que vous n’avez jamais investi volontairement, etc. Nous avons là un point commun, et je suppose que ce n’est pas le seul.
Mais vous concluez en disant : "" Comme souvent, ce n’est pas le système qui présente des vices, mais les vices humains qui dénaturent le système."" Alors là, je vous demande : de quel système parlez vous ?
N’est-ce pas plutôt un non système dont vous parlez ? Est-ce que vous défendez quelque chose qui fout le camp ?
Si vous appelez système les organismes chargés de gérer les intérêts de ces pirates, alors, je maintiens ce que j’ai dit.
"L’AGCS : quand les états abdiquent face aux multinationales"
(éd. Raisons d’agir, par Raoul M. Jennar et Laurence Kalafatidès). Lire en 4ème de couv : "Engendrée sous la pression des milieux d’affaires, assemblée dans les couloirs de l’OMC, une formidable machine à détruire les services publics mondiaux entre en action : l’AGCS. Son objectif : libéraliser tous les services en supprimant un à un tous les obstacles au commerce. L’AGCS autorisera par exemple une multinationale à poursuivre pour concurrence déloyale une commune qui subventionne sa cantine scolaire". Ou si elle refuse des aliments OGM